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 Un bref aperçu de mon parcourt dans les chevaux et quelques pistes ou projets qui me tiennent à cœur.

Depuis l’âge de 5 ans, je fréquente le milieu équestre. J’ai connu les chevaux à la maison et à l’écurie de façon amateur et professionnel depuis une dizaine d’année. J’ai été en sport étude équitation chez Bruno Bouvier, cavalier de concours complet (malheureusement décédé cette année). J’ai travaillé dans plusieurs structures classiques en tant que gérant, cavalier soigneur ou administratif. J’ai eu a gérer jusqu’à 120 équidés sur 3 sites distincts avec 6 personnes sous ma direction.

En 2002, j’ai passé avec succès les tests d’entré au monitorat d’équitation mais je n’ai pas poursuivis la formation.

En 2005, je fais la connaissance d’albert Voorn et en 2006 celle d’Andy Booth, deux rencontre qui vont bouleverser ma vision de l’équitation. S’en suivront des colloques à l’ENE, des formations, des stages et de très nombreuses lecture pour la compréhension de la mise en main, du rassemblés et de la biomécanique équestre. Tout cela va m’amener à abandonner les embouchures et a découvrir que les chevaux peuvent se passer de fer.

En 2009, je fais mon premier stage avec KC Lapierre qui vient en France pour la première fois.

Fin 2010, je suis diplômé en podologie équine appliqué, DAEP niveau 1 et prévois de commencer le niveau 2 pour 2012.

Mon parcourt hétéroclite m’a permis de développer une vision holistique de la gestion du cheval et à faire évoluer mes pratiques sur le terrain.

Aujourd’hui je suis podologue et comportementaliste équin, j’ai plus d’une centaine de chevaux pieds nu en visite régulière. 5 structures équestres m’ont fait confiance avec succès dont 2 avec toute une cavalerie pied nu.

Ce que j’ai constaté :

Le milieu professionnel équestre est centré sur la performance et la rentabilité. Mais paradoxalement peu sur la connaissance précise des besoins fondamentaux des équidés. Cela amène beaucoup de problèmes, de frais et parfois des accidents qui auraient pu être évité.

Le traditionalisme prime sur la science et les idées reçu, sur les faits.

Le CIRAL et les cliniques vétérinaires ne désemplissent pas, les ostéopathes ont du travail par-dessus la tête, pourquoi ? Douleurs de dos et de pieds qui pénalisent le parcours sportifs de milliers de chevaux sont devenues des banalités et le fond de commerce d’un business de la santé du cheval.  Maréchaux ferrant et vétérinaires en tête, on mets des pansements sur des jambes de bois puis on déclare forfaits devant la réalité souvent navrante : le cheval est inopérant !

Coliques, boiteries, troubles du comportement sont monnaies courante alors même qu’elles entrainent de lourdes conséquence sur la performance et la rentabilité.

Ce que je propose :

Une vision holistique de la gestion du cheval en essayent de répondre au mieux à ses besoins tout en respectant les impératifs financiers de la pratique équestre professionnel.

Pourquoi ?

Parce que on peut conjuguer travail sérieux et plaisir des yeux. Tout le monde préfère voir un cheval sain, performant, bien dans sa tête et dans son corps plutôt qu’un animal stressé, tiraillé par ses pieds et son dos douloureux souffrant de ne pas avoir de contact sociaux. L’éthique de pouvoir se dire qu’on ne va pas contre la nature mais aller avec elle, parce qu’au final  à long et moyen termes les bénéfices sont supérieur.

Comment ?

Un suivi personnalisé des chevaux en partant des pieds pour arriver à la tête où chaque phase de l’entrainement aura une adaptation ciblé, basé sur des critères éthologiques. Tout cela n’enlève rien à la technique, CSO ou dressage ne sont que des perfectionnements qui ne peuvent se passer d’une base solide et saine.

En 6 ans d’études et de recherches personnelles sur le terrain j’ai pu me rendre compte de mes erreurs et de l’ inadaptation de la plupart des enseignements que j’avais reçus. Par exemple travail des jeunes chevaux est de loin la phase la plus passionnante du circuit et l’occasion de mettre en place des bases solides, pourquoi ne pas commencer par là?

C’est pourquoi je vous propose de vous faire partager les fruits de mes recherches à travers ce blog.

Parallèlement à cela, j’ai pour projet de mettre en place un centre de soins pour la réhabilitation des problèmes locomoteurs qui nécessite un lieu et une infrastructure adaptés afin de pouvoir mettre en pratique in situ tous les enseignements de la podologie équine appliquée. Je suis donc à la recherche d’un lieu et d’un partenariat pour mettre en place ce projet. Le but étant de prendre en pension de soins, des chevaux en réhabilitation nécessitant des manipulations et des traitements podologiques  que les propriétaires ne peuvent suivre quotidiennement.

A bientôt!

1 Comments on “Mon parcours :

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