5 Comments on “Questions sur La Rencontre Etre-Humain-Cheval”
Les réflexions de Christine Agassi commencent dans le bon sens et terminent dans une philosophie de bazar un petit peu fumeuse, non ?
Ce qui est certain, c’est que tous ceux qui s’imaginent avoir telle ou telle autre relation privilégiée avec leur cheval se foutent le doigt dans l’œil par excès d’anthropomorphisme !
On a une jument, elle donne les pieds, vient nous voir en pâture, monte volontiers dans le van sans problème, bref la relation privilégiée… sauf que, montée, elle trotte, puis s’énerve…
La relation en prend un coup !
Bon, dans deux mois (on n’a pas trop le temps) elle cessera de trotter, on fait ce qu’il faut pour… Mais quid de cette relation qu’il faut canaliser ?
(avant, il fallait une heure pour qu’elle monte dans le van: tout est artificiel ! On l’aime bien tout de même…)
Je suis en train de travailler la verticalité intérieure et extérieure, je suis très surprise mais c’est difficile par moment d’arriver à se “vider” pour ressentir son propre corps / ses émotions et celui du cheval, ses émotions et celle du cheval – en gros arriver à être disponible pour le cheval après une journée de boulot, les soucis familiaux, les emplois du temps minutés etc… mais ça vient, le tapis monte à cru aide bien pour se ressentir….. c’est une discipline mentale.
Cela fait des miracles avec mon cheval importé du portugal stressé, ultra sensible et fin…. la sensation est comme si je passais de la cavalière mal dégrossie à un comment dire… un centaure?
La plupart des cavaliers aspirent à ne faire qu’un avec leur cheval? Oui mais sans compromis: le cheval doit s’adapter de A à Z, sous la contrainte si il le faut pour ne faire qu’un, ou plutôt pour ne faire que le cavalier…
Ne faire qu’un avec son cheval c’est la rencontre, la communication, le partage, le respect mutuel, prendre soin de l’autre, l’équitation là-dedans n’est qu’une extension de l’expression de tout cela…
Je pense que les cavaliers qui ont le bonheur de partager une relation authentique avec leurs chevaux ne cherchent plus à l’expliquer aux autres. Ils savourent sans chercher rien d’autre 🙂
Les réflexions de Christine Agassi commencent dans le bon sens et terminent dans une philosophie de bazar un petit peu fumeuse, non ?
Ce qui est certain, c’est que tous ceux qui s’imaginent avoir telle ou telle autre relation privilégiée avec leur cheval se foutent le doigt dans l’œil par excès d’anthropomorphisme !
On a une jument, elle donne les pieds, vient nous voir en pâture, monte volontiers dans le van sans problème, bref la relation privilégiée… sauf que, montée, elle trotte, puis s’énerve…
La relation en prend un coup !
Bon, dans deux mois (on n’a pas trop le temps) elle cessera de trotter, on fait ce qu’il faut pour… Mais quid de cette relation qu’il faut canaliser ?
(avant, il fallait une heure pour qu’elle monte dans le van: tout est artificiel ! On l’aime bien tout de même…)
Je suis en train de travailler la verticalité intérieure et extérieure, je suis très surprise mais c’est difficile par moment d’arriver à se “vider” pour ressentir son propre corps / ses émotions et celui du cheval, ses émotions et celle du cheval – en gros arriver à être disponible pour le cheval après une journée de boulot, les soucis familiaux, les emplois du temps minutés etc… mais ça vient, le tapis monte à cru aide bien pour se ressentir….. c’est une discipline mentale.
Cela fait des miracles avec mon cheval importé du portugal stressé, ultra sensible et fin…. la sensation est comme si je passais de la cavalière mal dégrossie à un comment dire… un centaure?
La plupart des cavaliers aspirent à ne faire qu’un avec leur cheval? Oui mais sans compromis: le cheval doit s’adapter de A à Z, sous la contrainte si il le faut pour ne faire qu’un, ou plutôt pour ne faire que le cavalier…
Ne faire qu’un avec son cheval c’est la rencontre, la communication, le partage, le respect mutuel, prendre soin de l’autre, l’équitation là-dedans n’est qu’une extension de l’expression de tout cela…
Je pense que les cavaliers qui ont le bonheur de partager une relation authentique avec leurs chevaux ne cherchent plus à l’expliquer aux autres. Ils savourent sans chercher rien d’autre 🙂
Cela devient trop intime 😉