On peut trouver un peu partout sur le net les écrits de Mr Leveillard D. Il est notamment intervenus au CONGRÈS DE MÉDECINE ET CHIRURGIE ÉQUINE de Genève. C’est quelqu’un de reconnus et de respecté dans son milieu.
Il a écrit un article intitulé “PARER D’APLOMB” qui nous explique comment équilibrer le pied d’un cheval avant la pose d’un fer pour respecter son intégrité physique. Nous allons voir que cette technique peut poser quelque problèmes…
Avant tout, l’article est disponible içi: http://maudouit.ufm.pagesperso-orange.fr/technique/parage.htm
Mon but n’est pas de critiquer gratuitement, mais de répondre à des idées reçus selon lesquelles, 1 – on a pas été formé, 2 – le parage des MF et celui des pareurs est identique, 3 – On devrait passer le CAPA pour être apte. (apte à quoi?)
On va essayer de reprendre point par point, son article pour essayer d’y voir clair. Cet article est cité en référence par de nombreux maréchaux, c’est donc qu’il fait référence.
- Un pied est considéré comme “paré d’aplomb ” quand la corne a été taillée de façon à ce que la surface solaire offre une surface d’appui plane et que l’angle ainsi donné au sabot (donc à PIII) impose des contraintes minimums aux articulations du doigt. Le centre de pression statique (CPS) se trouve alors à peu près au milieu de la fourchette, à environ 1 cm de la pointe.
Déjà on “pare” sur une approximation: “la corne”, oui, mais laquelle? Le sabot du cheval se compose de tissus cornés de différente composition et surtout de nature anatomique différente. On a a faire a des structures internes et externes qui interagissent ensemble! C’est bien là, une 1ere différence, la podologie prend en compte les structures internes séparément puis en fonctionnement les une par rapport aux autres.
Surface d’appui plane? Oui, pour pouvoir poser un fer, cela semble logique et nécessaire. Mais pour autant, les spécificités du pied demandent t’elles à avoir une surface solaire plate? Non! Les recherches récentes indique que le parage devrait suivre la sole vive, or la sole n’est pas plate. Deuxièmement, les structures formant une arche interne, comme notre voute plantaire, la surface solaire du pied n’est pas plate mais concave. Le fonctionnement physiologique (naturel?) du pied demande à pouvoir se déformer en charge. (Donc, abaissement de la voute plantaire. Donc, comment on fait si le pied est plat avant d’être mis en charge?)
là, il associe le sabot et P3… et indique que l’équilibration du sabot va permettre d’éviter les contraintes sur les articulations du membre. OK. mais à l’arrêt? En statique? quid du comportement dynamique? C’est oublier que le sabot, comprend des structures internes qui interagissent et plus particulièrement dans le mouvement! DONC, on devrait rajouter, que l’équilibration du sabot devrait permettre de limiter les contraintes sur les structures internes pendant leurs fonctionnement… non? (car si ce n’est pas le cas, ce sera sources de pathologies et d’un affaiblissement des dites structure)
Je passerais sur le centre de pression statique, puisque c’est un concept qui n’est pas très important dans une vision “dynamique” du pied du cheval. ( sous entendu, y a plein de choses à voir avant… )
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Le travail de parage du maréchal ferrant est de conserver, au pied du cheval, un aplomb adapté à sa morphologie générale et plus particulièrement celle de ses membres.
Voilà, là, on est pile poile dans la croyance. Penser que le sabot et le pied ne font qu’un et qu’il doit être équilibré SEULEMENT par rapport au membre. Le MF va donc chercher à équilibrer un sabot et son membre (sa jambe).
Cela confirme ce que j’indique au dessus, quid des structures internes? quid de la mise en symétrie de la boite corné (le sabot) et du pied (l’ensemble des structures internes) ? Quid du fonctionnent physiologique? On ne sait pas.
- Un mauvais aplomb induira des contraintes en tension des ligaments, et/ou des tendons d’un côté de la colonne osseuse et en compression des cartilages ainsi que des os du côté opposé. Ceci qui se concrétise par un déplacement du CPS à l’opposé des tensions vers les zones comprimées.
Qu’est-ce qu’un mauvais aplomb? Qu’est-ce qu’un bon aplomb? Il décrit des conséquences probable d’un mauvais aplomb au niveau ostéopathique sur le membre. OK. Mais encore une fois, quid des structures internes? Qu’elles conséquences auront une mauvaise équilibration des structures? Et plus simplement, qu’elle conséquence aura un mauvais équilibrage sur le pied lui même? Si on prend que cette phrase, on comprends pourquoi y a autant de chevaux en consultation au CIRAL… y aurait il des milliers de “mauvais aplombs”? (mauvais aplomb acquis ou provoqué? on ne sait pas…)
- Une erreur de parage, en induisant des contraintes articulaires et donc une modification des pressions dans le pied entraînera des modifications de la boîte cornée dues au stress et aux surcharges. On pourra observer du côté tendu du doigt une accélération de l’avalure (pousse de la corne), alors que du côté comprimé on observera lignes de stress, seimes, bleimes, déformation de la couronne.
Je pense qu’on devrait dire: une erreur de parage, en modifiant la boite corné, entrainera des pressions dans le pied qui induiront des contraintes articulaires. Mais chacun voit midi à sa porte.
Il est aussi inexacte de parler de pousse plus importante du côté “allégé” du pied, je préfère parler d’une pousse “ralentie” du côté mis sous tension… car sans fer, cela est vérifié par l’usure plus importante des parties du pied qui sont les plus contraintes. Sachant qu’en plus, c’est la stimulation qui provoque la pousse. ( Cela vient aussi confirmer, que quand on applique de la pression sur la paroi, on ralenti sa pousse… cela vient ébranler un peu la théorie de la paroi porteuse)
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Le parage n’a d’action directe que sur la position de PIII dans le plan frontal , le plan sagital, ou une combinaison des deux.
Là, c’est très intéressant. On va se remémorer les plans et axe du pied!
Donc, il nous dis qu’on ne peut intervenir sur P3 que dans l’axe Dorsal / palmaire et Médial / latéral. ( c’est plus cool d’employer les bon termes ) Et bien c’est incomplet!
On peut intervenir aussi sur l’axe distale / proximal! ( donc la hauteur de p3 par rapport au sol) On pourrait aussi dire que dans le cadre de la podologie, on cherche surtout à équilibrer le pied et sa boite cornée et à mettre leurs structures en équilibre en fonction de leurs développement du moment. ( ce qui exclue les angles figé imposé à l’avance, vous voyez de qui je veux parler? )
Le petit schéma des triangles indique le pied en VERT et la boite corné en ROUGE, et pourrait dire que P3 serait le point noir. Cela nous fait 4 dimensions à travailler pour avoir un parage correcte. Parce que on va aussi chercher à rendre la pousse plus homogène, à installer des conditions d’équilibre DANS le pied et donc aller vers une amélioration. (et pas simplement essayer de ne pas provoquer de contraintes traumatisante).
- On ne peut pas modifier la position horizontale de PIII par le parage.
J’avoue que j’ai cherché assez longtemps ce qu’il voulait dire… sans vraiment comprendre d’ailleurs vue tout ce qu’on a pus dire précédemment. Par contre, je sais que la podologie prend en compte l’empreinte du pied et l’empreinte du sabot ( triangle vert et rouge…) et que le but est bien de les faire coïncider au niveau de la gestion des forces. On peut donc penser que oui, on peut changer la position de P3 dans la boite cornée, déjà de manière externe en jouant sur les axes mais aussi de manière interne en pouvant contrôler une descente distale* et même l’inverser! ( * quand P3 “s’enfonce” dans le sabot. On peut le mesurer en comparant la distance entre le processus extenseur et le bourrelet coronal sur une radio sagittal du pied. Ou encore en palpant la zone avec les doigt, un creux caractéristique pouvant l’indiquer)
- Modifications sagittales de l’aplomb (en faite on devrait dire modification sur l’axe distal/proximal dans le plan dorsal/palmaire) : Lorsqu’on modifie les angles du pied dans le plan sagital on modifie aussi l’état de tension des ligaments et des tendons qui stabilisent l’équilibre dorso-palmaire du pied.
Ces histoires de tensions, sont à prendre avec des pincettes, car les tensions sur les ligaments ne sont vraiment importante qu’en hyper-extension et les tensions sur les tendons sont régulé par les muscles! Les données ne découlent que de tests in vitro pratiqué sur des cadavres… Et comme la cinématique physiologique du pied nu est mal comprise par la recherche conventionnel, on peut légitimement se poser des questions sur ce genre d’affirmations et les conclusions qui en découlent. ( du style, le TFP va tirer P3 et provoquer sa bascule dans la fourbure… c’est tout simplement ridicule ) De plus, on reste sur de la biomécanique SIMPLE, des tensions, des forces. point. Quid du fonctionnement physiologique du pied? On attend toujours…
- Si on abaisse les talons en ménageant la pince on tend les ligaments et tendons de la partie palmo-distale du doigt, c’est à dire le ligament annulaire digital distal, le tendon fléchisseur profond et son ligament accessoire (la bride carpienne), les ligaments proximaux et distaux du sésamoïde distal ; ce qui aura tendance à déplacer le CPS vers la pince (donc à augmenter la charge supportée par celle-ci au bénéfice d’une décharge des talons), à ralentir l’avalure dans la partie antérieure du sabot et l’accélérer dans sa partie postérieure. Dans ce cas le boulet et le paturon se redressent.
Ok, on constate encore les effets de la mise en charge déséquilibré. On reprends les donnés des essaies sur cadavres. (donc en statique, quoi de plus statique qu’un cadavre?) Laisser la pince et baisser les talons va faire se porter le cheval en avant. ( par une baisse de son angle palmaire ). Toujours rien sur la cinématique du pied en dynamique? Les effets sur les structures internes? la locomotion? non.
- A l’inverse, si on raccourcit la pince et/ou qu’on surélève les talons, ce sont les tendons et ligaments de la partie dorsale qui se retrouvent sur-tendus (essentiellement l’extenseur dorsal via les brides du MI03), au bénéfice d’un relâchement du fléchisseur profond du doigt, et, ce faisant, reportent la pression sur les talons. L’augmentation de la pression entraîne un ralentissement l’avalure dans cette région et le relâchement du tendon, une descente du boulet et du paturon.
Même constat que précédemment. Je note aussi qu’on a pas encore parlé de l’état des structures? On peut donc parer sans prendre en compte leurs santé, ni leurs niveau de sollicitation? Laisser du talon et couper de la pince va faire se redresser le cheval. ( augmentation de l’angle palmaire ). et au niveau de sa locomotion? On peut dire que tous les Ibériques sont laissé comme ça, et que l’hyper sollicitation de l’extenseur les faits trotter du genoux? (entre autres…)
- Tous les maréchaux ont pu observer que la pousse de la corne venait toujours corriger les modifications qu’ils tentaient d’apporter à l’angle sagital du sabot. ( l’angle palmaire quoi) Si les modifications provoquées par le maréchal ont assez peu de conséquences sur le plan sagital dans la mesure où elles sont ponctuelles c’est parce que l’articulation du pied est faite pour travailler dans ce plan et les ligaments et tendons qui en dépendent sont très résistants aux efforts qui leur sont demandés.
Et oui, je dirais, la nature est bien faite et le pied cherchera toujours à revenir à l’équilibre! (le vrai, l’équilibre dynamique, pas un concept de mécaniciens imposé à l’arrêt et basé sur des données mesuré sur un cadavre)
Recherche du bon aplomb medio-lateral :
- Dans le plan frontal toute contrainte articulaire en torsion va compresser les os et les cartilages articulaires du côté de la fermeture des angles et solliciter à l’excès le ou les ligaments collatéraux opposés. Les cartilages compressés se vident de leur eau et ont donc tendance à disparaître, le côté compressé des os se surminéralise avec risque d’apparition de suros, d’ostéophytes…. Du côté opposé, les ligaments tiraillés risquent de se minéraliser (apparition d’entesophytes à leurs insertions), de perdre de leur élasticité, voir de se rompre.
On pourrait rajouter la séquence physiologique. A savoir que les déformations suivent un ordre précis immuable, qui est:
tissus mous vascularisés > tissus flexibles cornés > tissus durs osseux.
Donc, se pencher sur les ligaments et tendons c’est bien, mais on peut s’apercevoir des problèmes bien avant que les tendinites soient problématique. On peut aussi changer sa façon d’équilibrer les pieds et être quasi certains de ne pas provoquer de tensions traumatisante? Comment? En se basant sur des repères anatomique fiable, interne au pied!
- Puisque au lever les articulations du doigt des antérieurs ne sont pas contraintes (quand on tient le membre par le canon), la vue de profil permet de reconnaître que la position relative des rayons osseux est tout à fait comparable à celle que l’on peut voir lorsque le membre est posé et vertical (statique).
On s’aperçoit aussi que le membre en charge au repos, en charge pendant l’exercice et finalement en dynamique ne ressemble en rien à ce membre relâché, détendu et hors contrainte.
- Cette position relative devrait donc rester inchangée vue de face ou de derrière (dans le plan frontal). C’est dans cette optique que beaucoup de théories préconisent l’usage du T d’équerre qui apporte une aide précieuse lorsque la conformation du cheval est proche de l’idéal, mais qui connaît vite ses limites quand l’individu présente des défauts d’aplomb dans le plan frontal (en adduction ou en abduction).
Donc, on en revient en début d’article, le MF aligne un SABOT avec un MEMBRE et rien d’autre. Il ne prend PAS en compte ni la position des structures internes, ni leurs état, ni l’empreinte du pied par rapport au sabot. Quid de la position de P3 dans la boite cornée? de l’angle palmaire de P3? Et attention, l’œil peut être trompeur!
On a bien l’alignement des rayons osseux comme indiqué?
Oui? Donc, c’est bon, on est paré d’aplomb!
PERDU !
Voilà donc, toute l’importance de prendre des repères INTERNE à la boite corné et si possible, situé au plus prés de leurs point d’origine, c’est à dire là où ils ont le moins de chance d’être déformé.
D. L. indique lui même que la méthode a ses limites et qu’en cas de déformations des dits rayons osseux, on a plus à faire à de “l’équilibrisme” qu’a une véritable mise en équilibre… or des chevaux droits, y en a mais y en a beaucoup de pas droit! Alors qui peut le plus peut le moins autant prendre des bonnes habitudes dès le départ.
- Chez un cheval idéalement conformé, le canon se trouve perpendiculaire à la surface du sol. Il est donc normal et nécessaire, chez lui, que la surface solaire du sabot lui soit perpendiculaire lorsque l’observateur juge le plan du parage au lever.
Affirmation gratuite, les chevaux ne sont pas des tables! Qu’elle animal ou même humain a des membre verticale, perpendiculaire au sol? Même si on peut dire qu’on s’en rapproche, on a quasiment jamais la perpendiculaire.
DONC, non, il n’est pas “normal” que la surface solaire lui soit perpendiculaire! 1ere, on a vue que la méthode d’équilibration “à bout de bras” pour l’équilibre dorsal/palmaire était erroné. Donc, pourquoi il serait autrement pour l’équilibre médiale/latérale?
De quoi on parle? La surface solaire? Qu’est-ce que c’est? La sole? Ou la surface sur laquelle on va placer le fer? donc la paroi? L’interface de contact entre le sabot et le sol, chez le cheval ferré, c’est le fer.
Si par convention, on veux que le fer (ou comme indiqué “la surface solaire”) soit perpendiculaire au membre, on va donc mettre LA PAROI (support du fer) perpendiculaire au membre.
Mais comme on l’a vue précédemment, PAROI et PIED peuvent ne pas être aligné!!!
On peut donc créer un déséquilibre en essayant d’imposer cette fameuse “perpendiculaire”. (source de tendinites… tient? c’est pas la première cause de boiterie ça? )
- Chez le cheval à la conformation imparfaite (mais depuis quand? et avant ou après ferrage?), lorsque le canon forme avec le sol un angle non perpendiculaire, il paraît logique que le maréchal par son parage respecte cette particularité anatomique en conservant un angle surface solaire/canon semblable à l’angle canon/sol.
et nous y voilà…. la logique !
On laisse une boite cornée déformé, entrainant des contraintes sur le pied… Et si “par hasard”, ce cheval était pas comme ça à cause du parage qui le mets dans une positon antalgique définit à tord, comme un problème d’aplomb?
En anglais on appel ça : Sheared heels. > “”http://www.equipodiatry.com/shrheel.htm”” , on peut appeler ça “talons cisaillé” en Français.
Sheared heels can be defined as a hoof capsule distortion resulting from displacement of one heel bulb proximally relative to the adjacent heel bulb (Figure 1).
“Les talons cisaillés peuvent être définie comme une déformation de la boîte cornée résultant du déplacement d’un glome de manière proximale par rapport au glome d’à côté (adjacent) (Figure 1).”
On remarque sur la photo, une belle rotation en externe du pied. Mais au final, cela va gêner qui?
La ligne de poile et le fanon, indique la rotation que j’ai surligné en rouge. J’ai aussi modifié la photo en montrant ce que la podologie aurait sans doute proposé. (on peut pas trop se prononcer vue que notre prise de repère se fait uniquement par la face distale du pied.) Mais on peut facilement se servir des lacunes, situé de chaque côté de la fourchette pour savoir un peu où en en est! )
La conséquence, c’est que ce cheval “paré d’aplomb” conventionnellement, répondra peut être aux critères à l’arrêt, mais en dynamique, lorsqu’il va se déplacer et même galoper (si il peut encore) ses membres vont naturellement se rapprocher de la ligne situé sous le centre de gravité du cheval. (là aussi, c’est logique…) et donc venir infirmer complètement les angles imposé à l’arrêt, jambe écarté! On va alors assister à la déformation des cartilages latéraux et surement observer tous les problèmes décrits plus haut, quand on créer des tensions pathologique…
Paré en se servant de la sole, et des lacunes, au pire, le pied conservera sa rotation vers l’extérieur, mais le cheval pourra être carré! (même à l’arrêt) et surtout avoir ses structures en équilibre dynamique pendant la locomotion.
Heureusement, certains maréchaux ne suivent pas les conseils et équilibrent correctement les pieds…
- C’est selon ce principe que nous avons imaginé le TDL. Il s’agit d’un T ajustable qui permet, dans un premier temps, de matérialiser l’angle canon/sol en plaçant la barre longue du T derrière le canon et dans son axe, la petite barre placée sur le sol parallèlement aux glômes.
Le T ou ou le TDL sont donc complètement inutile… voir contre productif! Il suffit de changer sa prise de repères!
- Nous avons rapproché cette méthode de la méthode qui consiste à localiser le centre de pression statique.
Protocole? En plaçant une bille d’acier sous un fer et en cherchant le point d’équilibre? Mais encore une fois, c’était en statique! L’équilibration d’un pied ne peux se concevoir qu’en dynamique et en fonction du développement des structures à l’instant T.
Mettre une bille d’acier sous un pied ferré, mis d’aplomb en le regardant à bout de bras, ne prouve rien.
Si! que la proprioception du cheval lui permet de quand même trouver un équilibre (en statique, dans l’instant) même si ça doit lui créer des tensions… et cela est prouvé par les chiffres effarant du CIRAL et d’élimination en Endurance. ( à 60% pour boiteries… )
L’expérience pourrait être plus intéressante si le cheval avait des pieds correctement développé, décrit comme non déformé, et qu’un matériel électronique permettait de situer le CPS en mouvement.
un peu comme là:
Bref. j’espère que vous aurez compris cher lecteurs, que la podologie équine EST DIFFÉRENTE de la Maréchalerie. (et ce, dans biens des points)
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