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Outre les bouquins dont je parle sur mon blog, je suis tombé sur un site assez géniale :

http://www.genitec.net/pages/la_methode.html

Cela permettra de sauvegarder ce précieux texte… et se sera je pense utiles à tous les thérapeutes !

Mise à jour express!!!

ALERTES !

Notre santé entre de mauvaises mains

Le 23 octobre, l’Autorité européenne de santé autorise que soit indiqué sur les sucreries qu’elles sont bonnes pour le cerveau

Cette « allégation de santé » a été créée par le règlement n°1018/2013 du 23 octobre 2013, et ajoutée à l’annexe du règlement de 2012. Pour être précis, il est désormais permis d’indiquer sur les produits sucrés que « les glucides contribuent au maintien des fonctions cérébrales normales ». 

Cette allégation de santé accordée aux glucides vient d’un règlement européen qui vise à « protéger le public » des dangers … des produits naturels ! 

Le 16 mai 2012, la Commission européenne a adopté un « règlement », le n°432/2012, qui interdit d’indiquer librement sur les vitamines, minéraux et autres produits nutritionnels naturels, ce à quoi ils servent. 

Vous vous en apercevez en magasin bio, et même en pharmacie, où les produits naturels à visée thérapeutique ne portent quasiment plus aucune indication sur leur usage précis, en dehors d’expressions floues comme : « participe au bien-être général », « augmente l’énergie », etc. 

Si vous cherchez un protocole de prévention ou de traitement efficace contre l’arthrose, le diabète ou une maladie cardiaque, vous êtes obligé de vous en remettre aux conseils des vendeurs du magasin qui, généralement, racontent absolument n’importe quoi . 

J’en fais régulièrement l’expérience lorsque je fais mes courses. Pour m’amuser, je demande au pharmacien ou au vendeur de produit bio de m’expliquer exactement à quoi sert tel ou tel produit, comme l’acétyl-L-carnitine, la phosphatidylsérine, ou même des produits beaucoup plus courants comme le silicium organique ou la vitamine E. 

Cette interdiction imposée aux fabricants de produits naturels a toutefois été accompagnée d’une liste d’exceptions  : une commission spéciale examine en effet les dossiers présentés par les fabricants, lorsqu’ils disposent d’études scientifiques démontrant l’efficacité d’un produit. Certaines « allégations de santé » sont alors autorisées, et le fabricant obtient de ce fait le droit d’écrire sur l’emballage une phrase précise, dont chaque terme est défini par la commission, 

Comme je l’ai déjà expliqué régulièrement, ce système, qui part d’une bonne intention, provoque une véritable catastrophe pour la santé publique. Il est en train d’entraîner la disparition de dizaines de milliers de produits naturels du marché, pour les raisons suivantes :

  1. Les études scientifiques n’existent pas toujours. Les bureaucrates européens sont partis du principe qu’il « suffit » aux fabricants de présenter un dossier de recherche démontrant les vertus thérapeutiques de chaque aliment, comme s’il s’agissait de médicaments. Mais les aliments n’étant pas brevetables, personne n’a les moyens ni le temps de réaliser des études. Ce fut par exemple le cas du pruneau : personne n’ayant réalisé d’études assez « scientifiques » sur les effets laxatifs du pruneau, pourtant parfaitement connus, ils décidèrent d’interdire cette allégation. Des milliers d’aliments furent ainsi privés d’office de la possibilité d’être vendus avec des allégations thérapeutiques pourtant bien établies. 
  2. La tâche est trop vaste. Il existe des dizaines de milliers d’aliments naturels, qui se présentent sous des formes différentes. Ainsi l’ail rose n’est pas l’ail blanc, et les espèces européennes ne sont pas les espèces chinoises. La plupart des aliments naturels agissent en synergie. Il faudrait au Comité travailler plusieurs siècles pour rendre un avis éclairé sur chaque produit. Ne sont donc étudiés que les grands classiques, comme la vitamine D, les oméga-3, les probiotiques, et le reste passe aux oubliettes.
  3. Les experts sont incompétents. Trop sélectionnés pour leurs diplômes en médecine conventionnelle et surtout en « toxicologie », beaucoup sont formés à voir des poisons partout. Par contre, ils n’ont généralement aucune formation valable en nutrition. Pour eux, médecine rime avec médicaments chimiques, tout le reste n’étant que « remèdes de bonne-femme ». Cela joue encore en défaveur de milliers de produits naturels qui sont rayés de la liste.
  4. Opacité et conflits d’intérêts : les experts sont désignés par l’EFSA dans l’opacité et sans garantie sérieuse de leur indépendance vis-à-vis des lobbys industriels. La présidente, Diána Bánáti, a été obligée de démissionner en 2012, ayant simplement « oublié » de déclarer son conflit d’intérêt avec le lobby pro-OGM International Life Sciences Institute (ILSI) où elle est retournée travailler. Une autre démission a fait grand bruit : celle du commissaire européen en charge de la Protection des consommateurs (DG SANCO), M. John Dalli, pris la main dans le pot de miel du lobby du tabac. 

Le résultat est que, le 23 mai 2012, après six années d’études, le comité d’experts a accouché péniblement d’une liste de… 222 allégations autorisées, sur 40 000 dossiers. On évalue de plus à des dizaines de milliers le nombre de produits naturels, et combinaisons de produits naturels, trop peu rentables pour que quiconque se soit donné la peine de constituer un dossier. 

Par contre, appelés à se prononcer sur le rôle des glucides dans le corps, les experts n’ont pas eu d’autre choix que de reconnaître qu’en effet, les glucides sont indispensables au bon fonctionnement du cerveau ! Et tant pis si manger plus de sucre est la dernière chose dont les enfants (et les adultes) ont aujourd’hui besoin. Les fabricants pourront désormais mentionner que les glucides contribuent au maintien des fonctions cérébrales. Bravo les experts européens ! 

A votre santé,

Jean-Marc Dupuis
Retrouvez mes meilleures chroniques dans L’ Intégrale Santé Naturelle (J.-M. Dupuis, 2013, SNI éditions, 384 p.) disponible ici (lien cliquable). Tous mes droits d’auteur seront reversés à l’ Institut pour la Protection de la Santé Naturelle, association sans but lucratif qui défend le droit de chacun de se soigner autrement. Acheter mon livre est aussi un moyen de soutenir leur généreux combat. 

 

Du coup, cet article prend encore plus de sens!!!!

5- SEQUENCES ATOMIQUES ET FONCTIONS VITALES:

GENERALITES

Aux 14 fonctions retenues :
Cœur – Intestin grêle – Vessie – Rein – Organes génitaux – Thyroïde–Vésicule biliaire – Foie – Poumon – Gros intestin –- Estomac – Rate Pancréas – Muscles – Os -Quatorze enchaînements d’éléments de la classification périodique, véritable carte d’identité de la fonction, sont associés.
L’analyse urinaire de patients par les techniques ultrafines des spectrométries d’absorption et d’émission atomique (Perkin Elmer), l’étude statistique des résultants, ont contribué à l’élaboration de ces séquences fonctionnelles.
Ainsi toute perturbation de ces séquences signera le degré d’altération de la fonction.
Parallèlement il nous a paru intéressant de retenir deux autres types de séquence à tendance plus générale.
L’une : définissant le pouvoir réactionnel de l’organisme vis-à-vis d’une agression bactérienne ou virale. Le degré immunitaire.
L’autre : définissant le bilan nerveux du sujet.
Suivant le type de la fonction vitale explorée, l’une ou l’autre (ou les deux) seront analysées afin d’évaluer le degré d’altération de la fonction étudiée et attirer l’attention sur le fait qu’il serait souhaitable d’entreprendre des analyses complémentaires qui ne seront pas de notre ressort.

6- SEQUENCES AUX AGENTS VIRO-BACTERIENS ET NEURONALE.

FONCTIONS
…………………………………………….SR (I)…………………..N (II)
Cœur………………………………………………………………….X
Intestin Grêle………………………………………………………X
Vessie ……………………………………..X……………………….
Rein  ……………………………………….X……………………….
Organes Génitaux……………………..X……………………….X
Thyroïde ………………………………….X………………………X
Vésicule biliaire…………………………X……………………….X
Foie ………………………………………..X……………………….
Poumon…………………………………..X……………………….
Gros intestin…………………………….X……………………….X
Estomac……………………………………X………………………X
Rate Pancréas…………………………..X……………………….X
Muscles……………………………………X……………………….
Os…………………………………………..X……………………….

Séquence I : (SR)

Permet d’établir le pouvoir réactionnel de l’organisme ou d’un organe face à une agression viro-bactérienne ou une immunodépression qui peuvent engendrer une pathologie lésionnelle.

Séquence II : (SN)

Permet d’apprécier l’état du système nerveux qui peut interférer sur un organe en créant une pathologie fonctionnelle. Selon la fonction envisagée c’est l’une ou l’autre ou les 2 séquences qui seront étudiées en complémentarité.

La Séquence I (SR).
Si-B-Fe-Zn-Se-Ge-Mg – Lanthanides (14 éléments)
Au-Pt-Ag-Al-Cu-Ga soit 27 éléments.

Le SILICIUM (Si)
En moyenne l’apport journalier serait de l’ordre de 25 mg. Le Silicium est le deuxième élément le plus important en concentration de la croûte terrestre, alors qu’il est rare dans l’eau de mer. Il est nécessaire à la croissance de certains microorganismes qu’aux plantes unicellulaires, aux animaux, aux végétaux et à l’homme. Les sujets nourris avec une alimentation pauvre en Si présentent des malformations des os et des cartilages avec des modifications biochimiques de leurs composants.
Il joue un rôle dans la croissance, dans la calcification, dans la formation du cartilage et du tissu conjonctif : en particulier dans la fabrication du collagène et des protéoglycanes de la matrice.
Métal anti-infectieux, diurétique, re minéralisant, facteur de Polymérisation important de l’élastine. Son taux est abaissé de plus de moitié dans le tissu athéromateux. Le pancréas est l’organe le plus riche en silice, c’est aussi la principale source d’élastase de l’organisme.
La mortalité par cancer est plus faible dans les régions à sol siliceux que sur les terrains crétacés.
Les Silicates et fluosilicates sont des catalyseurs importants dans tous les états de déminéralisation et en cancérologie.

Le BORE (B)

En moyenne l’apport journalier serait de l’ordre de 20 mg. Métalloïde peu toxique, il est utilisé sous forme d’acide borique comme antiseptique léger. Les eaux thermales boratées sont diurétiques et combattent l’obésité. Il est utilisé comme adjuvant de certains traitements pour épileptiques. Ses sels ont des propriétés sédatives. Le tartre borico-potassique est, de plus, laxatif et diurétique à forte dose.

Le FER (Fe)

En moyenne l’apport journalier serait de l’ordre de 15 à 30 mg. Le fer est indispensable au déroulement de nombreuses fonctions physiologiques.
C’est un constituant de l’hémoglobine (pigment des globules rouges du sang transporteur d’oxygène.)Il occupe le centre d’un noyau porphyrique, appelé hème. C’est ce même noyau que l’on retrouve occupé par le Magnésium pour la molécule de chlorophylle, le Cobalt pour la vitamine B12, le chrome pour le facteur de tolérance au glucose. Avec d’autres constituants protéiques, il fait partie de la myoglobine qui stocke l’oxygène dans le muscle, les cytochromes qui assurent la respiration cellulaire. Très important dans l’immunité au même titre que les autres éléments de la séquence. Un déficit provoque une diminution de la formation de cellules T4.
La transférine-synthétase se trouve dans le lymphocyte T.
En présence de Fer, le lymphocyte T synthétise une protéine ferrique, la ferritine, avec un enrichissement en sous unités H, en macrophages qui augmentent la biosynthèse des sous unités H.
Le FER joue un rôle dans l’activation des réactions enzymatiques, en particulier les processus respiratoires cellulaires : Les cytochromes, les catalases et les peroxydases.
Il active de nombreuses enzymes dont la catalase qui assure la dégradation des radicaux libres nuisibles.
Enfin toute perte en fer doit attirer l’attention sur le fait que les Lanthanides, groupe de 14 oligo-éléments sont par leurs propriétés magnétiques et paramagnétiques entraînées avec l’élimination du FER.
Ne pas oublier que les Lanthanides participent à la synthèse protéique.

Le ZINC (Zn)

En moyenne l’apport journalier serait de l’ordre de 10 mg, pour les enfants, 15 mg pour les adolescents, 25 mg pour les femmes enceintes ou allaitant, 20 mg pour les adultes. Ces valeurs peuvent être augmentées en cas d’alcoolisme ou de prise importante de vitamine B6.Il s’élève dans le sang des infectés chroniques, des cancéreux et des leucémiques. C’est un catalyseur des déshydrogénasses, anhydride carbonique, des carboxypeptidases, de la phosphatase alcaline.
Il participe à la défense anti radicalaire de l’organisme en tant que métallo enzyme. Par l’intermédiaire de la superoxyde dismutase, il assure la protection et la stabilité aux membranes cellulaires. Il joue donc un rôle fondamental dans la défense immunitaire. Le ZINC est sollicité chaque fois que survient une inflammation ou une infection.
Il est utilisé dans les troubles hypophysaires et spécialement gonadotrope : retard de croissance, développement génital de l’adolescent, ménopause. C’est un excellent défatiguant. Il est recommandé dans la plupart des troubles pubertaires et les cas d’insuffisance sexuelle. Associé au Nickel et au Cobalt il devient une préparation catalytique de choix comme préventif du diabète. C’est un hypoglycémiant efficace indiqué dans les troubles pancréatiques.

Le SELENIUM (Se)

En moyenne l’apport journalier serait de l’ordre de 50 mg, pour les enfants, 130 mg pour les adolescents, 160 mg pour les femmes enceintes ou allaitant, 200 mg pour les adultes hommes et 120 mg pour les adultes femmes. La carence de Sélénium dans le sang des cancéreux a été reconnue par les américains.
C’est un antioxydant parce qu’il est présent au sein des quatre sites catalytiques de la glutathion peroxydase. Cette enzyme est capable de réduire les radicaux libres, quand ils ont été captés par la vitamine E.
Le Sélénium agit donc en complémentarité de la vitamine E. On a démontré par ailleurs son rôle dans le maintien de l’équilibre immunologique dans la synthèse de l’interféron, la production d’anticorps et la prolifération lymphocytaire.
Les carences du Sélénium impliquent des maladies cardiovasculaires et cancéreuses. Les signes les plus fréquents sont les douleurs et la faiblesse musculaire.

Le GERMANIUM (Ge)
Métal du groupe IV B.
Le Germanium qui aurait un rôle favorable dans les processus dégénératifs, a de plus une action favorable dans l’hématopoïèse. Certains dérivés organiques sont antimicrobiens.

Le CUIVRE (Cu)

En moyenne l’apport journalier serait de l’ordre de 1 mg, pour les enfants, 2,5 mg pour les adolescents, 3 mg pour les femmes enceintes ou allaitant, 2 mg pour les adultes. Métal du groupe I B.
Le Cuivre est présent dans tout l’organisme à des concentrations très variables, le foie et le pancréas en contiennent le plus. Les principales autres concentrations sont le sang, le cerveau, les reins et enfin les muscles et les os. Il joue un rôle important dans la fabrication des globules rouges, de la myétine, dans la synthèse des protéines et des prostaglandines, dans l’absorption du Fer et de la vitamine C. Il intervient dans le métabolisme de Calcium et du Phosphore, régularise l’hypophyse, la thyroïde, les glandes génitales et stimule les surrénales. Le Cuivre est un activateur exceptionnel des défenses microbiennes et virales.
Il aide une enzyme (oxydase) à fabriquer le collagène et l’élastine nécessaire à la souplesse de nos tissus, en particulier des artères coronaires. Il fait partie du groupement prosthétique de la cytochrome-oxydase a3 et de la phénolase. C’est un cofacteur de plusieurs autres enzymes.
Le Cuivre, outre son intervention dans la biosynthèse de l’hémoglobine, apparaît donc comme un élément fondamental des métallos enzymes et des oxydases cuivriques.
La céruloplasmine en a une grande partie.
Le Cuivre a une action anti-infectieuse et anti-inflammatoire importante. Il catalyse de plus l’action de la vitamine C, et favorise l’autodéfense des états infectieux aigus.

L’ALUMINIUM (Al)

Les besoins quotidiens varient d’un sujet à l’autre dans des proportions importantes. On en trouve dans toutes les formes de végétaux et toutes les formes de viandes. Métal du groupe III B.
Le lait est très pauvre en Al et les principales sources sont les algues marines, la levure de bière, les feuilles vertes les plus jeunes de tous les végétaux, les poissons et les crustacés.
L’Aluminium est un métal intéressant le système nerveux. Il augmente sa vitalité en cas d’invasion microbienne. Il est de plus utilisé dans les atonies intellectuelles et les retards du développement cérébral.
La difficulté de compréhension et la lenteur d’idéation sont favorablement influencées par l’Aluminium qui est en plus un régulateur du sommeil sans effet hypnotique.

Le MAGNESIUM (Mg)

En moyenne l’apport journalier serait de l’ordre de 150 mg, pour les enfants, 350 mg pour les adolescents, 450 mg pour les femmes enceintes ou allaitant, 400 mg pour les adultes. Métal du groupe II A.
Le Magnésium avec le Manganèse est l’un des corps simples (cations) les plus facilement chélatés. La vitamine B 6 est indispensable à son assimilation. Le Magnésium est sensible aux équilibres des autres ions qui peuvent le déplacer (Potassium, Lithium).
Il intervient dans tous les échanges cellulaires et son taux de renouvellement est très important.
Il est particulièrement actif sur le système nerveux et régularise son potentiel en permettant au muscle de se détendre après sa contraction.
Le Magnésium peut être proposé comme modificateur du Terrain surtout les troubles en rapport avec les échanges membranaires de la cellule.
Ses rapports avec le métabolisme du Ca au niveau des os et des tissus musculaires striés le font employer dans les troubles de la croissance et de la minéralisation, de même que dans la manifestation de la spasmophilie.
Il semble également avoir un rôle primordial de protection au niveau du cœur (infarctus du myocarde).Une cause de carence peut être un trouble d’absorption dû à des problèmes digestifs : intestinaux, hépatiques ou pancréatiques. Une insuffisance rénale provoque une grande déperdition de Magnésium par les urines. Certains médicaments ou aliments contenant des chélateurs peuvent bloquer son assimilation. Les signes sont très divers mais peuvent se résumer ainsi : fatigue, émotivité exagérée, irritabilité, agressivité, oppression, crampes, tremblements, vertiges, ongles et cheveux fragiles, poussées allergiques, problèmes biliaires et parfois calculs rénaux.
En cas de carence sérieuse prolongée, c’est la spasmophilie ou la tétanie. La synergie de base du Magnésium est la vitamine B 6, mais son efficacité nécessite aussi le Calcium. Le rapport idéal est de deux fois plus de Calcium que de Magnésium.

Le GALLIUM (Ga)

Métal du groupe III B.
Le Gallium semble être un élément fondamental de tous les phénomènes inflammatoires dégénératifs. Il paraît être actif en cancérologie.
Les LANTHANIDES
Les Lanthanides ou terres rares forment un groupe de 14 éléments :
La-Lu-Mo-Tb-Nd-Yb-Gd-Eu-Ce-Er-Pr-Sm-Tm-Dy.
Leur concentration urinaire varie de 0,05 à 0,10 mg/l. Elle peut donner des indications utiles liées à l’immunologie. Les Lanthanides sont déplétées dans les pathologies cancériniques, immunodépressives. En début de processus, ces éléments peuvent avoir leurs valeurs normales multipliées de 2 à 7.

L’OR (Au)

Aucun apport journalier n’a été déterminé et il n’est pas certain que l’or soit nécessaire à l’alimentation humaine. Métal du groupe I B.
La surcharge alimentaire est impossible, mais il peut y avoir des réactions importantes à l’ingestion de l’or colloïdal. (Médicament)Depuis l’antiquité l’Or a été utilisé par de nombreuses médecines traditionnelles. Les thérapeutes taoïstes du IIe siècle recommandaient à l’empereur Wu de boire et de manger dans des ustensiles d’Or afin de combattre les effets de la sénescence. La médecine Ayurvédique utilisait l’Or colloïdal pour combattre certaines infections. Il y a encore peu de temps, notre médecine utilisait des sels d’or pour traiter la tuberculose pulmonaire et certaines affections rhumatismales. Associé au Cuivre et à L’Argent, l’Or augmente les réactions de défense de l’organisme, il forme l’un des plus puissants activateurs biocatalytiques de l’oligothérapie. Beaucoup de médecins considèrent le Cu-Au-Ag comme un véritable antibiotique polyvalent sans toutefois les inconvénients des vrais antibiotiques. (Chélateurs de beaucoup de minéraux et destructeurs de certaines vitamines)
Cette association est souveraine comme stimulant biologique pour le troisième âge et il est indiqué comme préalable à tout traitement de maladies évolutives, lésionnelles et dégénératives. (Dépression et obsessions suicidaires (avec le Lithium), rhumatismes articulaires aigus, lymphogranulose, leucémies, dégénérescence tissulaires, etc…Il stimule l’activité cellulaire. C’est un antitoxique, anti-infectieux, antithermique. Il possède une affinité pour le système réticulo- endothélial. L’Or est un excellent stimulant des fonctions sexuelles (avec le Zinc et le Cuivre)

Le PLATINE (Pt)

Quantités quotidiennes : Aucune
Métal du groupe VIII.
Il a été préconisé de même que le Palladium et l’Argent comme catalyseur d’oxydation.
Expérimentalement il s’oppose à la formation de Peroxyde d’Hydrogène pour cette raison il a été utilisé comme adjuvant des traitements des cancers en accompagnement des cures de rayonnement dont il diminuerait les effets secondaires.
Associé au Palladium, le Platine a été indiqué pour le traitement du diabète.

L’ARGENT (Ag)

Apport journalier : Il n’a pas été démontré de besoin. Métal du groupe I B.
Il est le meilleur conducteur d’électricité qui soit. Il est aussi le plus blanc de tous les métaux. Les alchimistes l’appelaient le ” métal de la lune ” ou le ” métal de Diane “L’argent n’est pas toxique par voie buccale pour les organismes supérieurs. Il arrête de façon absolue le développement de l’Aspergillus et des moisissures à traces infinitésimales.
C’est un antiseptique utilisé dans les états infectieux et les états fébriles.
Son champ d’application s’étend aux maladies infectieuses les plus diverses. C’est un catalyseur d’oxydation qui non seulement s’oppose au développement des germes, mais encore modifie favorablement l’état du malade en abaissant la température.
La Séquence II (SN).
Mn-Al-Mg-Au-Sn-Hf-Ni-Cr-Si-Li-Rb soit 11 éléments.
Seuls sont étudiés Hf, Li et Rb, les autres éléments ayant déjà été examinés (ou le seront).

Le HAFNIUM (Hf) :

La principale fonction du Hafnium est l’absorption de rayonnement électromagnétique dans la fente synaptique. Il joue un rôle important dans la neurotransmission.

Le LITHIUM (Li) :

Apport journalier : Aucun apport n’a été encore établi, mais il semble que l’apport devrait se situer à 2 mg, parce que l’organisme n’en assimile que 10%. En principe l’alimentation pourvoit largement en Lithium. C’est un élément proche du Sodium (classe des métaux alcalins) avec lequel il semble être en compétition. Il réalise des échanges ioniques, surtout au niveau de la cellule nerveuse.
C’est la médication biocatalytique des troubles du psychisme : Anxiété, angoisse, dépression, insomnie.
Il semble que l’ion Brome potentialise l’action du Lithium dans son utilisation en faibles doses.
Il a une action curative sur les états psychiques de caractère dépressif et hypomaniaque. Il joue un rôle régulateur des mécanismes électrolytiques de la cellule nerveuse, un rôle normalisateur endocrinien (hypothalamus, hypophyse et surrénales) équilibrant le taux d’adrénaline et de noradrénaline, en plus d’un rôle antitoxique sur l’urée et antiépileptique. Le Lithium à forte dose est réservé au domaine de la psychiatrie.

Le RUBIDIUM (Rb) :

C’est un activateur auxiliaire de nombreux enzymes. Il augmente la rotation métabolique de la noradrénaline.
C’est un antidépressif qui augmente, contrairement au Lithium, la réponse agressive à un choc.

7 – FONCTIONS VITALES ET SEQUENCES ATOMIQUES.

A- LA FONCTION Courue séquence commune à l’homme et à la femme :
Se-K-V-Si-Mg-Au-Ca-Zn-Cd-Na
à laquelle il faut rajouter l’Iode pour la femme, le Fer pour l’homme.

Le SELENIUM (Se) :

Apport journalier : Les valeurs suivantes sont généralement acceptées : Enfants : 50 mcg, adolescents en croissance : 130 mcg, femmes enceintes ou allaitant : 160 mcg, adultes hommes : 200 mcg, adultes femmes : 120 mcg.
Les carences en Sélénium existent là où les sols en sont dépourvus ou en contiennent peu. Les signes les plus frappants sont les douleurs et la faiblesse musculaire.
La preuve semble avoir été faite par des études montrant que dans certaines régions ou les sols sont très riches en Sélénium, le cancer et les maladies cardiovasculaires sont rares.
Il s’associe au Soufre dans les groupements thiols des séléno-protéines et se distribue dans tous les tissus de l’organisme.
Il tient un rôle important au niveau des seleno-enzymes et particulièrement de la glutathion-peroxydase, enzyme qui s’oppose à la formation du peroxyde d’hydrogène.
Il est de ce fait utilisé dans les carences métaboliques (nutrition parentérale prolongée) et comme protecteur vis à vis de certains facteurs de carcinogenèse.
Dans diverses pathologies, hépatites, cirrhoses, myopathie (statut séléniprive).
Les gérontologues recommandent le Sélénium avec la vitamine E, comme préventif de la sénescence.
Le Sélénium est également indiqué pour : l’uricémie, néoplasies, l’impuissance, la frigidité, la stérilité, les mycoses et l’acné. En protégeant les membranes contre l’action des radicaux libres, il s’oppose aussi à l’altération des différents tissus et en particulier de la peau et du cœur.

Le POTASSIUM (K)

Apport journalier : Tout le Potassium de notre corps est renouvelé en 4 jours. Une grande partie ingérée est éliminée par la transpiration, les fèces et surtout l’urine. L’organisme peut donc éliminer les éventuels excès. Enfants : 900 mg – Adolescents en croissance : 1500 mg – Femmes enceintes ou allaitant : 2000 mg – Adultes : 1000 mg. Métal du groupe I A.
En excès, il diminue l’excitabilité musculaire et provoque l’arrêt du cœur en diastole chez les vertébrés. L’excès est contrôlé par les reins sous l’action des hormones corticosurrénales et par les intestins. Une maladie de ces organes peut provoquent une rétention excessive de Potassium. (Surrénalite chronique, maladie d’Adisson, anurie, etc…)La carence potassique induit une acidose intracellulaire (remplacement du K par l’ion H) et une alcalose extracellulaire, une fatigue avec hypertonie musculaire et crampes, palpitations cardiaques avec troubles caractéristiques de l’électrocardiogramme. La carence en Potassium induit également un manque de résistance à l’effort, puis à la fatigue mentale : esprit lent, mémoire défaillante, sens amoindris. Viennent ensuite les signes plus sérieux : atonie de l’intestin et de la vésicule biliaire, distension stomacale, chutes de tension, dilatation cardiaque, arythmie, etc…Dans tous les cas le Potassium est bun adjuvant puissant des autres biocatalyseurs utilisés en association (manganèse – Cobalt, Cuivre – Or- Argent, Soufre, etc…) D’autres indications sont les troubles du métabolisme de l’eau et la régulation de la fonction surrénalienne. Le Potassium peut être utilisé comme un puissant diurétique. Un excès de Sodium provoque une perte de Potassium.

Le VANADIUM (V) = Voir SEQUENCE PANCREATIQUE.

SILICIUM (Si) et MAGNESIUM (Mg) = déjà étudiés.

Le FER :

L’équipe de J. Salonen, après avoir étudié sur une population masculine de Finlande Orientale le risque d’infarctus du myocarde, constata que ce facteur risque était six fois plus élevé chez l’homme que chez la femme.
Il ressort que le risque d’infarctus augmente avec le taux de ferritine. Son augmentation de 1 % majore le risque (4 %).
De même M. Ciavitti souligne son rôle néfaste par le biais des procédures oxydatives sans l’athérogenèse.

Le CALCIUM :

La formation d’un caillot sanguin peut-être due à un excès d’ion Ca++ qui active la thrombokinase.

Le ZINC :

Dans l’infarctus du myocarde, on observe une augmentation de l’activité de la lacto-hydrogénase qui a comme oligo-élément bio activeur, le Zn.

Le CADMIUM :

Le cadmium diminue la longévité et augmente la fréquence des maladies cardio-vasculaires et de l’hypertension.
En complémentarité de la séquence cœur, il est intéressant d’explorer la séquence système nerveux pour mettre en évidence une éventuelle influence nerveuse sur les troubles du rythme.B – LA FONCTION REIN.

1) Rappel physiologique :

Les reins sont des organes pairs comportant chacun environ un million d’unités fonctionnelles, appelées néphrons (glomérule + tubule). Son fonctionnement comporte 3 étapes :
filtration glomérulaire
sécrétion tubulaire sous la dépendance des ions H+ et K+.
Réabsorption tubulaire passive et active.
Les reins assurent :
la balance iodée et hydrique (vasopressine, aldostérone)
la régulation des ions K+ (aldostérone)
la régulation des ions calcium
la régulation des ions H+ (acidité de l’organisme).

2) Séquence atomique de la fonction rein :
Pb-Sn-Hg-Mo-Li.

L’ETAIN (Sn)

Apport journalier : Les besoins peuvent ^être évalués à 3,6 mg qui sont en principe couverts par l’alimentation. Métal du groupe IV B
Il était connu dans la préhistoire car, avec l’alliage du Cuivre, il donna l’Airain, ancien nom du bronze. L’étain peut être utilisé en thérapie pour le traitement des furoncles et le protoxyde d’Etain conne ténicide. Sous forme colloïdale, il est indiqué pour les abcès, anthrax, furoncles, acné, etc…Il forme une synergie catalytique intéressante avec le Plomb et semble être plus efficace avec le Silicium et le Titane. PLOMB (Pb)
Apport journalier : Nous absorbons environ 300 micros grammes de Plomb par notre alimentation, l’eau et l’air que nous respirons.

Métal du groupe IV B.

Le Plomb a le grave inconvénient de s’éliminer difficilement. L’organisme n’assimile que moins de 10% du plomb ingéré dans l’alimentation. Il n’en est pas de même pour le Plomb que nous inhalons dans l’air pollué des villes. (500 fois plus que dans les régions montagneuses non polluées)L’intoxication chronique commence par présenter des symptômes vagues : fatigue globale, manque d’appétit, perte de poids et ensuite : constipation chronique, élévation du taux d’urée et violentes coliques. (Saturnisme)On utilisait en médecine classique, certains sels de Plomb aux propriétés astringentes et cicatrisantes, leur usage a été abandonné.
Il est significatif des dégénérescences tissulaires, en particulier, du parenchyme rénal et hépatique.

L’Etain et le Bismuth ont sur le plan catalytique des affinités synergétiques avec le Plomb. L’excès de Plomb peut être inhibé par des métaux /zinc, Calcium, Fer et les vitamines C et E)

Le MERCURE (Hg)

Apport journalier : Plusieurs études ont démontré qu’il pouvait être toxique à faible dose : 0,5 g pour l’oxycianure ou 1 g pour le chlorure mercurique. Métal du groupe II B.
Le Mercure est absorbé par les eaux polluées (même l’eau de pluie) et par certains poissons de mer (Thon, Flétan, Espadon) Ces aliments ne constituent pas un danger d’intoxication car le Mercure est accompagné de Sélénium qui le neutralise. La pollution de l’air des villes peut nous intoxiquer peu à peu. Le Mercure est peu utilisé, il aurait des vertus anti-stress et jouerait un rôle catalytique favorable sur le métabolisme du Calcium, du Sodium, du Potassium, du Lithium et du Baryum.
Certains oxydes sont encore utilisés en antiseptiques comme le mercurochrome.
Le Mercure inhibe la malate-deshydrogénase, bloquant ainsi le cycle de Krebs.
Les sels de Mercure sont des diurétiques toxiques, actuellement pratiquement inemployés.
Une fuite d’un métal polluant comme le Mercure, laisse présager l’affaiblissement de tout le parenchyme rénal.
A doses catalytiques, le Mercure est synergique avec le Zinc, le Cadmium, le Bismuth et l’Arsenic. Le Sélénium, les vitamines C et E inhibent l’absorption du Mercure.

Le MOLYBDENE (Mo) :

Apport journalier : Enfants : 0,1 mg, adolescents en croissance : 0,3 mg, Femmes enceintes ou allaitant : 0,5 mg, Adultes : 0,4 mg.
Les carences sont rares. Des études indiquent qu’un manque de Molybdène pourrait être la cause de certains cancers de l’œsophage. Une alimentation trop riche en Molybdène provoque une carence en Cuivre. Des propriétés en matière d’allergie ont été démontrées, de nombreuses études sont en cours dans le monde. C’est un activateur de la xanthine oxydase qui transforme l’hypoxanthine en xanthine et cette dernière en acide urique. Toute perturbation en Molybdène pourrait donc signer une mauvaise élimination des urines.
Le Chrome a une action synergique avec le Molybdène. Le Cuivre est antagoniste du Molybdène.

Le LITHIUM (Li) :

Intervient également dans la fonction d’élimination urinaire. Il favorise l’élimination de l’urée et de l’acide urique. En complémentarité de la séquence rein, il est intéressant d’explorer la séquence immuno viro bactério résistance pour mettre en évidence un processus inflammatoire ou infectieux.

C – LA FONCTION RATE PANCREAS (endocrine).

1) Rappel physiologique.

La Rate : Elle a une fonction hématopoïétique. Elle est le siège de destruction de globules rouges, en particulier, de l’hémoglobine qui est transformée en pigments biliaires, alors que le fer est mis en dépôt dans le tissu splénique avant de servir de nouveau dans l’hématopoïèse.
La rate contient du Cuivre et du Cobalt lesquels sont utilisés à la synthèse de l’hème, dans la fabrication de l’hémoglobine.
Le tissu lymphoïde de la rate intervient dans la néoformation des globules blancs qui contiennent de nombreux métallo enzymes pour la destruction des corps pathogènes.
La rate contrôle tout l’apport énergétique alimentaire c’est l’organe qui distribue cette énergie à tout l’organisme.
En contrôlant la sécrétion des enzymes digestifs
en régulant l’absorption des liquides
en dirigeant les apports alimentaires en fonction des besoins de l’organisme (travail musculaire, adaptation thermique,).

Le Pancréas endocrine :

Le Pancréas sécrète une hormone indispensable dans le métabolisme des sucres : l’insuline. C’est elle qui modère l’émission du sucre dans le foie. Son activité dépend de son intégrité structurale : présence du Zinc pour la formation des ponts – S – S entre les chaînes polypeptidiques de l’Hormone.
Il sécrète également une hormone hyperglycémiante : le glucagon qui est un antagoniste de l’Insuline et pour lequel doivent intervenir des éléments alcalino-terreux.
De plus, le pancréas contient une déshydrogénase succinique activée par les ions Aluminium.
2) Séquence atomique de la fonction Rate-Pancréas.
Ni-Co-Pd-Pt-Cr-Mo-Zn-Al-Mg-Ca-Sr-Ba.

D – LA FONCTION VESSIE.

1) Rappel physiologique.

La vessie contrôle la miction, l’urine quitte les reins par les uretères.
Les parois de la vessie sont constituées par des muscles lisses. Le muscle lisse circulaire fonctionne comme un sphincter (qui se ferme quand la vessie se relâche et s’ouvre dès que la vessie change de forme en se remplissant).
A la sortie de la vessie, un muscle sphinctérien circulaire contrôle la miction qui est sous la dépendance d’un réflexe spinal et de nerfs parasympathiques.
Le volume nécessaire pour déclencher la miction est de 300 ml.
Les muscles lisses sont commandés par le système nerveux végétatif qui agit par voie réflexe. Les médiateurs chimiques qui interviennent dans la transmission neurovasculaire sont ceux du système nerveux orthosympathique, c’est-à-dire, les catécholamines, noradrénaline, dopamine, (même famille chimique que l’Adrénaline).
Les médiateurs chimiques ne peuvent intervenir qu’en présence d’une enzyme spécifique : la Mono amino oxydase qui a pour activateur le calcium (Ca++).
Dans cette transmission neuromusculaire il faut tenir compte des échanges K+, Na+ au niveau du muscle excitateur.
De même les ions Mg++ interviennent indirectement comme Bioactivateur de l’ATP ase.

2) Séquence atomique de la fonction Vessie.
Zn-Cu-Mn-Se-Ca-K-Mg

En complémentarité de la séquence Vessie, il sera intéressant d’explorer la séquence immuno-viro-bactérienne pour mettre éventuellement en évidence un processus inflammatoire ou infectieux.

NICKEL (Ni), COBALT (Co),
PALLADIUM (Pd), PLATINE (Pt)
4 métaux du groupe VIII.
CHROME (Cr), MOLYBDENE (Mo)
2 métaux du groupe VI A.
VANADIUM (V)

1 métal du groupe V A.

Le NICKEL (Ni) :

Le Nickel agit sur le métabolisme glucidique. Il augmente la fixation et le catabolisme du glucose au niveau du tissu adipeux et active la transformation du glucose en glycogène.
De plus, c’est un activeur de la combustion des graisses. Cet élément possède une parenté chimique avec le Co.

Le COBALT (Co) :

Il joue un rôle important dans l’érythropoïèse (production d’érythropoïétine rénale) et dans le métabolisme des glucides. Le pancréas est riche en Cobalt qui a un rapport certain avec le Nickel et l’insuline.
Il est hypoglycémiant en augmentant la fixation tissulaire du glucose par un mécanisme “insuline libre”.
La synergie Ni-Co, paraît influencer la régulation pancréatique et être le catalyseur du carrefour pancréato-duodénal dont il améliore les troubles. L’association Ni-Co peut s’avérer utile en oligothérapie, dans les cas de digestion difficile.
Le Nickel est l’activateur de la combustion des sucres et des graisses, le Cobalt est régulateur du système nerveux.

Le PALLADIUM (Pd), et le PLATINE (Pt) :

Outre leurs propriétés lytiques sur les tumeurs, à doses catalytiques, et associés à Ni-Co, ils seraient utilisés dans le traitement du diabète.

Le CHROME (Cr) :

SCHROEDER a montré que sa carence induit un diabète avec athérosclérose et hypercholestérolémie.
Les déficits en Chrome peuvent se produire à la suite d’interventions chirurgicales, stress, après avoir subi des températures extrêmes. Ils se manifestent par une augmentation du taux de sucre et de cholestérol dans le sang.

Le MOLYBDENE (Mo) :

C’est un anti-anémique, il fait partie de la molécule de la xanthine oxydase et de l’aldéhyde déshydrogénase. C’est un élément nécessaire qui à doses minimes intervient dans de nombreux systèmes enzymatiques et le métabolisme du glucose.

Le VANADIUM (V) :

C’est un inhibiteur de la mévalonate kinase et de la synthèse du cholestérol, d’où son intérêt dans les maladies vasculaires.
En complémentarité de la séquence Rate-Pancréas, il est intéressant d’explorer la séquence immuno-viro-bactérienne pour mettre éventuellement en évidence un processus inflammatoire ou infectieux.

E – LA FONCTION VESICULE BILIAIRE.

1) Rappel physiologique sommaire.

La vésicule biliaire est un petit sac en dérivation des voies biliaires à la face inférieure du foie : elle stocke, concentre et libère la bile qui rejoint le duodénum au niveau du sphincter d’Oddi.
La bile sécrétée par le foie, assure la digestion des graisses dans l’intestin grêle, en fragmentant les globules de graisse du chyme gastrique en gouttelettes de 1 micron par le processus d’émulsification. La bile (jaune d’or) est composée de sels biliaires, de pigments biliaires, bilirubine provenant de la dégradation de l’hémoglobine de lécithine.
Les sels biliaires arrivent dans le duodénum pour permettre la digestion des graines et sont réabsorbés par l’intestin pour rejoindre le foie qui les incorpore dans la sécrétion biliaire.
Ce processus se réalise grâce au système porte qui permet aux substances absorbées par l’intestin de regagner le foie, avant de rejoindre la veine cave inférieure et le foie. Il est à noter que la bile favorise l’absorption intestinale du Calcium.

2) Séquence atomique de la fonction vésicule biliaire.
Mn-S-Zn-Cu-Sn-Pb-Fe

Fer (Stase biliaire)

La vésicule biliaire, réservoir de la bile, dans l’intervalle des digestions contient un certain nombre de métallo enzyme dont la catalase, métallo enzyme ferrique, et des estérases.
En cas de mauvais fonctionnement, il se produit des précipitations, en particulier de cholesterine, qui forme les calculs biliaires.

Le Cu : Outre son rôle anti-inflammatoire son action dans l’élimination des radicaux libres, il intervient dans le métabolisme du fer.
Interactions :
Cuivre – Fer-Zinc – Cuivre
Manganèse – Fer
Manganèse – Zinc
Etain et Plomb : dégénérescences tissulaires
Soufre : dysfonctionnements hépatiques, métalloïde indiscutablement complémentaire du Manganèse.

Le métabolisme cuprique est perturbé entre autre dans les troubles thyroïdiens. La cuprémie serait tout comme le métabolisme basal, un bon indice de l’activité thyroïdienne.

Là encore il convient d’explorer d’une part :

– La séquence immuno-viro-bactérienne qui peut révéler un éventuel problème infectieux ou inflammatoire.
D’autre part :

– La séquence nerveuse qui peut démontrer l’influence du système nerveux sur un dysfonctionnement de la vésicule.

F – LA FONCTION ESTOMAC PANCREAS (exocrine).

1) Rappel physiologique.

L’estomac :

Il a un volume de 500 ml environ : sa surface est plissée quand il se remplit et se déplisse pendant la digestion. Il est composé de 2 couches musculaires lisses (externe, longitudinal, interne, circulaire), dont le potentiel de membrane varie cycliquement de 10 à 15 mU – (3 cycles par minute).
Ce rythme électrique de base est sous la dépendance de cellules spécialisées situées dans le cardia qui ont une fonction de pacemaker.

Le sphincter pylorique assure la liaison avec l’intestin (duodénum) et grâce aux contractions péristaltiques qui arrivent dans l’autre, le contenu du bol alimentaire est poussé dans le duodénum, mais simultanément le pylore se ferme : une très faible partie du contenu entre à chaque onde.
Un contrôle nerveux très complexe régule l’évacuation gastrique partant des chimio, osmo, et benzo-récepteurs de la paroi du duodénum et sous la dépendance de la composition chimique et du volume du chyme duodénal.
Deux hormones duodénales jouent un rôle important dans cette régulation.
La sécrétine et la cholecystokinine qui agissent sur les muscles lisses de l’estomac et de l’intestin et dont la sécrétion dépend des équilibres entre protéines, acides aminés, glucides et lipides du bol alimentaire.
De plus, l’estomac sécrète l’acide chlorhydrique et des enzymes digestifs (pepsine).

Pancréas exonéré :

Le pancréas sécrète le suc pancréatique qui contient des sels minéraux : chlorures et phosphates de potassium et de sodium. Il contient aussi trois enzymes : une amylase, la trypsine, la lipase.

2) Séquence Atomique de la fonction Estomac – Pancréas.
Mn – Co – S – Zn – Ni – Mg.
Il convient d’explorer parallèlement la séquence immuno-viro-bactérienne qui peut révéler un éventuel problème inflammatoire ainsi que la séquence du système nerveux qui peut révéler un dysfonctionnement de l’estomac d’origine nerveuse.

G – LA FONCTION GROS INTESTIN.

1) Rappel physiologique.

Le gros intestin comprend le caecum (avec l’appendice) qui est relié à l’iléon par le sphincter iléo-caecal, le côlon (120 cm de long, 6 cm de diamètre) constitué par le côlon ascendant, le côlon transverse, le côlon descendant qui se termine par le côlon sigmoïde (trajet en S) puis le rectum.
Le côlon ne participe pas à l’absorption digestive (4 % seulement) et ne sécrète pas d’enzymes.
Son rôle essentiel est de stocker le chyme en provenance de l’intestin grêle (500 ml arrivent quotidiennement dans le côlon) et de concentrer les matières fécales (constituées essentiellement de bactéries et d’éléments non absorbables).
L’absorption dans le côlon concerne essentiellement le Na entraînant la réabsorption osmotique de l’eau.
Si les matières restent trop longtemps l’eau disparaît des selles et il se produit une constipation sèche.
Le côlon absorbe également des produits du métabolisme des bactéries qu’il contient, ce qui peut compenser quelquefois certaines carences vitaminiques.

L’activité bactérienne anaérobie produit une grande quantité de gaz (Azote, Co2, hydrogène, méthane, gaz sulfureux).
L’organisme élimine 150 g de selles par jour, composées de 100 g d’eau et de 50 g de déchets solides (Bactéries, cellulose, pigments biliaires, sels minéraux, K surtout).

2) Séquence Atomique de la fonction

Gros intestin.
Eu – Pr – Mg – Ca – Ba – Sr – P.

A souligner que l’Europium et le Praséodyme ont une action sur les fermentations alors que le Carbone (graphite) a une action sur les entérocolites gauches et sigmoïdiennes.
Là encore, la fonction immuno-viro-bactérienne et la fonction système nerveux seront systématiquement explorées.

H – LA FONCTION POUMON.

1) Rappel physiologique.

Le fonctionnement de la majorité des cellules de l’organisme dépend de l’énergie des réactions chimiques mettant en jeu l’oxygène.
Ces cellules doivent simultanément éliminer les déchets de ces oxydations : le gaz carbonique.
Sans trop développer la fonction respiratoire il est nécessaire de souligner que cette fonction a 2 aspects différents :
1. En tant que réaction métabolique de l’oxygène avec les substrats de l’organisme.
2. En tant qu’échanges gazeux entre les cellules d’un organisme et le milieu extérieur.

2) Séquence atomique de la fonction Poumon.
Sn – Ti – Si – As – P – Se – S.

– l’Arsenic As: action sur le terrain des bronchites à répétition et la sinusite chronique de l’enfant.
– l’Etain Sn : intervient dans les dégénérescences tissulaires, utilisé en thérapeutique dans la toux, l’expectoration, les atteintes pulmonaires chroniques et la tuberculose cavitaire. Pour des raisons de structure il est à associer au Silicium et au Titane.
– Le Phosphore P : action certaine sur les spasmes respiratoires et les asthmes spasmodiques.
– Le Sélénium Se : il a une parenté biologique avec le Phosphore, l’Arsenic et le Soufre.
– Le Silicium Si : c’est un stabilisateur général. Ses indications particulières sont les tuberculoses anciennes et en général les arthrotuberloses en voie de stabilisation. Le Titane a des indications comparables.
– Le Soufre S : asthme de sensibilisation.
Les séquences immuno-viro-bactériennes et système nerveux seront à explorer systématiquement.

I – LA FONCTION THYROÏDE.

1) Rappel physiologique.

Le corps thyroïde est une glande située à la base du cou et qui joue un rôle très important dans le métabolisme de l’iode.
Les iodures sont transformés en iode par une catalyse où intervient le cytochrome oxydase activé par les ions Fe +++.
L’iode libéré va se fixer sur la thyroxine en donnant l’iodothyronine.
Cette glande a aussi une fonction phosphorée réglant la thermogenèse et une fonction soufrée sur la nutrition de la peau et du système pileux.
La thyroïde sécrète aussi une hormone agissant sur le métabolisme du Calcium : la thyrocalcitonine. D’ailleurs dans l’hyperthyroïdie, l’activité de la cholinestérase augmente (cette enzyme est activée par les ions Ca++).

2) Séquence Atomique de la fonction thyroïde.
Fe – P – S – Ca – Zn – Cu.

Le Cuivre est perturbé dans les troubles thyroïdiens. (La cuprémie serait tout comme le métabolisme basal, un bon indice de l’activité thyroïdienne).

Le ZINC (Zn) = Il est un élément du groupe II B, vital pour l’organisme.
En effet, l’hypophyse est riche en Zn celui-ci jouant un rôle dans l’activité corticotrope. (Relation possible entre cette activité et la teneur en Zn des cellules Bêta).
La zincurie est élevée dans le diabète et certaines infections hépatorénales. La carence expérimentale chez l’animal provoque un diabète analogue à celui de l’homme avec angiopathies, artériosclérose et hypercholestérolémie.
Il intervient dans l’équilibre acido-basique et le métabolisme du Calcium.
Le Zinc est donc indiqué en priorité comme régulateur des fonctions hypophysaires, (en particulier gonadotropes), ainsi que les états de dysfonctionnement hypophysaires. (Syndrome adiposo-génital)
De plus, participant à la synthèse de la kératine et du collagène qui forment les phanères et la peau, sa carence provoque des retards de cicatrisation.
Il faut enfin signaler son rôle dans l’immunité, puisque le Zn s’élève dans le sang des infectés chroniques, des cancéreux et des leucémiques. Dans la croissance, sa carence produit un type particulier de nanisme. (Egypte – Iran)
Indications courantes comme oligo-élément :
Dermatologie. (Acné – Herpès)
Période de croissance.
Période d’allaitement.
Suite d’abus médicamenteux.
Suite d’abus d’alcool.
Après une opération chirurgicale pour favoriser la cicatrisation.
Il convient d’explorer parallèlement la séquence immuno-viro-bactérienne qui peut révéler un éventuel problème inflammatoire, ainsi que la séquence du système nerveux qui peut révéler un dysfonctionnement nerveux.

J – LA FONCTION GLANDES SEXUELLES.

1) Rappel physiologique.

Ces glandes sécrètent des hormones stéroïdiennes. L’hormone femelle étant l’œstradiol sécrété par l’ovaire et l’hormone mâle étant la testostérone, sécrétion du testicule. Les ions des éléments alcalins et alcalino-terreux interviennent certainement dans l’activité de ces hormones.
Chez les mammifères, on a observé qu’il peut exister un rapport entre les ions alcalins et alcalins terreux tels que :
K+ Na+ / Mg++ + Ca++ Désigné par sex-ratio qui semble déterminer le sexe.
De plus, les glandes sexuelles possèdent un certain nombre d’enzymes. Ainsi, l’activité de la phosphatase acide est accrue dans le cancer de la prostate.

2) Séquence atomique Glandes Sexuelles.
Ni – In – Zn – Se – Ba – Sr – Ca – Mg.

Le NICKEL (Ni) = Métal du groupe VIII.
Comme le Cuivre et le Cobalt, le Nickel est un bio-activeur de métallo enzymes.
C’est un activateur des phosphatases et amylases.
Le Nickel favoriserait le développement des vitamines A, C, et P.
Il active le catabolisme des glucides (Glycolyse) et prolonge les effets hyperglycémiques de l’adrénaline.
Le Ni est donc un activateur du catabolisme. Il est utilisé dans la cellulite et le diabète.

L’INDIUM : Métal du groupe IIIB.
Il est utile dans les états d’épuisement psychosomatiques avec excitation sexuelle et perturbation sphinctérienne.
Là encore les deux fonctions complémentaires sont à surveiller.

K – LA FONCTION FOIE.

1) Rappel physiologique.

Outre la sécrétion externe de bile qui intervient dans l’émulsion et la résorption des graisses et favorise l’absorption intestinale du Calcium, le foie est le siège de plusieurs sécrétions internes qui lui donnent des fonctions spécifiques.
– fonction glycogénique : le glycogène est hydrolysé en glycose par catalyse enzymatique réalisée par l’amylase hépatique et activée par les ions Ca++. Le foie retient le glycose formé pour le libérer seulement au fur et à mesure des besoins de l’organisme.
– fonction uréique : l’urée est élaborée dans le foie à partir de l’arginine. Celle-ci est transformée en ornithine et urée dans une réaction enzymatique réalisée par l’arginase et activée par les ions Mn++.
– fonction lipidique : à partir du glucose, il y a synthèse hépatique d’acides gras et de triglycérides qui peuvent être utilisés en période de jeûne. Il y a alors formation de corps cétoniques et élimination préliminaire d’acétone.
A partir des acides gras saturés, le foie fabrique également le cholestérol qui intervient dans la synthèse de certaines hormones et des acides biliaires.
– fonction martiale : la richesse du foie en fer vient, en autre, que l’hémoglobine est détruite à ce niveau par la bile. Il est stocké sous forme d’une combinaison peu stable : la ferrine.
– synthèse de la prothrombine : qui intervient dans la coagulation du sang à l’aide de la Vitamine K activée par les ions Ca++.
– métabolisme de l’eau : les insuffisances hépatiques s’accompagnent toujours d’épanchements synoviaux articulaires, de stagnation de liquides dans certains processus inflammatoires jusqu’à l’ascite du cirrhotique.
– métallo enzymes divers : aldolase : activée par les ions Zn++.
Transaminase : activée par les ions Ca++, Co++ et Ni++.
Flavoproteine : dont le bio activateur est Mo++.
On a observé dans certaines hépatites une augmentation de l’activité aldolasique.

2) Séquence atomique de la fonction Foie.
Co – Cs – Cu – Fe – Mn – Mo – Ni – Pb – S – V – Zn.

Le MANGANESE (Mn)

Métal du groupe VII A.
Il a une action sur les réactions d’oxydo-réduction, notamment au niveau du foie. Phosphorylation oxydative, oxydases, lipases, enzymes du catabolisme azoté.
Il est nécessaire à la synthèse de l’hémoglobine et au métabolisme du glucose et des lipides.
Il active l’acétyl-carboxylase qui induit en présence de biotine, la synthèse lipidique.
Le Manganèse intervient dans les fonctions de reproduction et de lactation, il est en relation avec la thyroïde.
Il augmente la formation d’anticorps chez l’animal infecté, il renforce donc l’immunité. C’est un désensibilisant puissant dans les phénomènes d’anaphylaxie.

Le VANADIUM (V)
Métal du groupe V A.
Il est inhibiteur de la mévalonatekinase et de la synthèse du cholestérol, d’où son intérêt dans les maladies vasculaires.

Le CESIUM (Cs)
Métal du groupe I A.
Proche du Potassium, il a été préconisé pour prévenir les accidents sériques.
C’est un protecteur hépatique qui semble jouer un rôle dans le métabolisme osseux, objectivé par la fixation du Césium 137.

Le PLOMB (Pb)
Métal du groupe III B.
Il n’existe pas normalement dans l’organisme. C’est un polluant de l’atmosphère, absorbé en majeure partie par les poumons et éliminé par le foie.
L’augmentation de la plomburie est fonction de la cellule hépatique. Elle permet d’apprécier la fonction anti-tonique du foie.
Le taux sanguin du Pb, augmente dans tous les hématomes et cirrhoses.

Le SOUFRE (S)
Métalloïde du groupe VI B.
Il a un rôle structural dans l’architecture des protéines par les ponts disulfures. Il intervient dans les sulfo-conjugaisons au niveau du foie.
La fonction immuno-viro-bactérienne sera dans le cas présent à explorer.

L – LA FONCTION INTESTIN GRÊLE.

1) Rappel physiologique.

Sur le plan anatomique, l’intestin grêle est un organe de la digestion, mais physiologiquement on peut l’inclure dans le système de défense immunologique.
Tout trouble de cet organe induit :
– des perturbations de l’assimilation alimentaire et ses conséquences (entérite, dyspepsie, selles
anormales, troubles du métabolisme, douleurs erratiques, diffuses, instables.
– mais également : une baisse du système de défense immunologique, des troubles énergétique du
cœur avec langues rouges et crevassée, troubles urinaires.2) Séquence atomique de la fonction Intestin Grêle.
C – Mg – Ni – Co – Pb – Zn – Bi – W – Ir.
Bismuth : agit dans les états douloureux abdominaux, péritonéaux ou gastriques, dans les entérocolites, dans le sens d’une modification du terrain intestinal. Il a des propriétés bactéricides et s’associe au Tungstène. Cobalt : Sympathico-régulateur dans toutes les manifestations dystoniques. Associé au Ni Zn il intervient dans les troubles de l’assimilation.
Magnésium : états intestinaux chroniques, colites, entérocolites.
W : Tungstène ou Wolfram : les boro et silico tungstates sont des puissants agents anti viraux par inhibition de la reverse- transferase.
Iridium : pouvoir anti infectieux et anti fermentaire au niveau intestinal.

M – LA FONCTION MUSCLES

1) Rappel physiologique.

Le tissu musculaire est un tissu vivant qui se renouvelle constamment et alors doivent intervenir des métallos enzymes dont les cations bio-activateurs appartiennent aux éléments de la première période de transition, mais qui ne sont présents qu’à l’état de trace. Les muscles striés sont constitués par la juxtaposition de cellules allongées en fuseau, et son soumis à la volonté pour se contracter en vue d’effectuer un mouvement, un travail, et se relâcher pendant le repos. Les contractions musculaires entraînant une perte de Potassium cellulaire. Plus l’activité musculaire est importante, plus la perte de Potassium est élevée. Ce minéral est un agent de liaison entre les extrémités nerveuses et la fibre musculaire, ainsi cette activité musculaire liée à l’activité nerveuse, entraîne une perte de Potassium. Cette hypokaliémie ne permet pas une compensation égale de l’utilisation du Potassium par la cellule. Ce déficit se traduit par une perte de force ou asthénie. La fatigue physique et nerveuse qui en résulte réagit sur le comportement psychologique et intellectuel de l’individu. Des manifestations arthritiques peuvent se produisent souvent. Le sujet manque d’entrain et s’installe peu à peu dans le pessimisme, il peut avoir des excès d’agressivité voire de violence chez les enfants. C’est le cas notamment des sujets exposés d’une manière prolongée aux radiations des écrans cathodiques dont l’action néfaste est maintenant démontrée.

2) Séquence atomique de la fonction muscles.
Cr – Cu – Fe – Mn – Mo – P – Se – Si – Zn

Le Potassium : 

A l’ opposé du Sodium. Il est le principal cation intracellulaire qui contribue à son métabolisme et à la synthèse des protéines et du glycogène. Il joue un rôle important dans l’excitabilité neuromusculaire et dans la régulation de la teneur en eau de l’organisme. Le liquide intracellulaire contient plus de 90 pour 100 du Potassium du corps. Le Potassium dans le plasma sanguin ne représente qu’une partie infime du Potassium total. Dans les cas de carence en Potassium on observe des hypokaliémies assez fréquentes, rarement liées à une carence dans l’alimentation, sauf chez les alcooliques chroniques ou chez les sujets atteints d’anorexie mentale. Ces cas se traduisent par des troubles neuromusculaires (crampes, paralysies, douleurs diverses) N –

LA FONCTION OS

1) Rappel physiologique.

L’os est constitué d’une matrice de tissu conjonctif sur laquelle viennent se déposer les sels minéraux responsables de la rigidité des tissus osseux. Cette fraction minérale est essentiellement composée par le cristal d’hydroxyapatite Ca10 (PO4)6 2H2O.A la suite d’intoxication par les métaux lourds ou lors de certains états pathologiques ou thérapeutiques, il est possible qu’une partie des atomes de calcium soit remplacée dans le cristal osseux par des atomes de nature différente. C’est ainsi que dans l’insuffisance rénale chronique, on constate une augmentation du Magnésium dans les tissus osseux. Ces échanges se situent généralement à la périphérie du cristal osseux, mais il est possible que lors d’intoxication les ions Ca++ de la structure profonde soient partiellement remplacés par des atomes de métaux lourds (Strontium, Radium, Plomb, Fer, Manganèse, Cuivre, Zinc), de Silice ou de Fluor. L’affinité de certains métaux lourds pour les tissus osseux représente parfois un élément essentiel du diagnostic d’intoxication.

2) Séquence atomique de la fonction os.
Al – Ca – K – Mg – P – Sr.

Silicium : 

Le Silicium est indispensable pour la croissance normale et le développement des animaux et de l’homme. Il joue un rôle dans la formation de l’os. Sa déficience entraîne un retard de croissance et même une atrophie de nombreux organes, ainsi que des fractures osseuses ou une immaturité dans la formation de l’os. Cependant, même si la place du Silicium comme élément essentiel pour l’organisme est maintenant admise, les pathologies auxquelles il est associé sont essentiellement liées à des phénomènes d’accumulation de ce dernier dans divers tissus. Ces accumulations ont deux principales origines : L’excès d’inhalation par voie respiratoire et le défaut d’élimination rénale.

Les interactions CUIVRE et FER

Si un animal est nourri avec un régime pauvre en Cuivre, il développera une anémie par manque de Fer. Mais cette anémie ne sera corrigée qu’en cas de supplémentation en Cuivre et non en Fer seul. Le déficit en Cuivre entraîne une accumulation du Fer dans le Foie et dans la rate ainsi qu’une diminution de l’utilisation du Fer pendant le métabolisme. Inversement, en cas de déficit du Fer, il y aura une répercussion sur le métabolisme du Cuivre, celui-ci se déposera sur le foie.

Les interactions ZINC-CUIVRE

Le mode de l’interaction Zinc-Cuivre est différent selon que l’apport alimentaire est déficient ou excessif. Lorsque l’apport en Zinc est faible, on observera l’augmentation de la concentration en Cuivre dans les organes. Si au contraire il y a un excès de Zinc dans l’alimentation, la concentration de Cuivre va descendre à un taux minimal, alors que l’alimentation fournissait le même rapport de Cuivre. En résumé, pour faire descendre le taux de Cuivre, il faut augmenter l’apport en Zinc. (Théorie de PFEIFFER)

Dans l’excrétion de ces minéraux, alors qu’un apport de Cuivre faible ou, au contraire, élevé ne va pas affecter l’excrétion du Zinc, à l’inverse, un apport important de Zinc va augmenter l’excrétion urinaire de Cuivre, excrétion qui reste cependant faible par rapport à l’élimination dans l’urine ou les selles.

Les interactions ZINC-FER

Un apport excessif en Zinc va entraîner un changement dans le métabolisme du Fer, et ce, par deux mécanismes :
D’une part par l’intermédiaire du métabolisme du Cuivre. Des apports très excessifs en Zinc vont entraîner une déficience en Cuivre avec une diminution marquée de la céruloplasmine chargée du transport du Cuivre. Mais comme celle-ci agit dans le métabolisme du Fer comme une ferroxydase, la phase ultime sera donc une anémie par manque de Fer. D’autre part, l’excès de Zinc va agir directement sur le stockage du Fer sur le ferritine dans le sang, car cette protéine transporte non- seulement le Fer, mais aussi le Zinc. D’autres mécanismes sont induits par un excès de Zinc à doses toxiques. Réduction de la durée de vie des globules rouges des deux tiers environ, entraînant une anémie par un turnover de fer accéléré. On a observé également dans de nombreux cas d’excès de Zinc, une diminution des stocks de Fer dans le foie et les reins.

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