fbpx

LA FOURBURE

par Sylvie Delépine

« Mon poney est fourbu ! »  Trop tard, le mal est fait,
Douleurs aigues, déplacements difficiles voire impossibles, le pronostic vital peut vite être engagé.

Voici la définition de la clinique de Grosbois

« Quand elle ne fait pas suite à une crise aiguë la fourbure chronique est généralement consécutive à un syndrome métabolique avec surpoids, obésité et mauvaise régulation de
la glycémie ».

Elle peut aussi, être associée à un « syndrome de Cushing »

Reprenons les étapes. Comme il à été décrit dans un article précédent, il est indispensable de porter une enquête sur l’étiologie. Les terminologies scientifiques
décrivent rarement l’origine des troubles.

Mon poney est un Shetland, un fjord, un pottock, mon cheval est un pur sang Arabe, un Frison, un Portugais, il est à Marseille, Quimper ou Roubaix, etc, Chaque être vivant fait partie d’une entité naturelle, Les interactions avec le milieu sont l’essence même de toute existence, Nous sommes tous programmés par nos origines géographiques.

Les espèces se sont développées dans des biotopes différents, Le fonctionnement
organique a été initié par les gaz, l’eau, la flore ou la faune environnementales,
Par exemple, les poneys dartmoore ne consomment pas du tout le mêmes plantes que leur voisin, les Exmoore.

Un cheval du Sud se contentera de peu de plantes grasses, de feuilles étiolées, de céréales, vers l’Ouest, les Landes sont les terrains de prédilection, mousses, lichens…qui ne présentent pas tout fait les mêmes spécifités que l’herbe normande.

Il convient de mettre de côté cette idée fausse et répandue qu’un cheval est juste un cheval,
il est primordial de considérer en premier les origines génétiques des animaux,
pas que pour la lignée, mais au sens global du terme. Le cheval consomme ce qui pousse dans son environnement naturel, pas de cuisson, pas d’aliments secs (une hérésie!), pas de produits transformés qui sont des « intrus » pour un organisme.

Le souci principal réside également dans une alimentation standardisée, et cuite.
Malheureusement l’industrie agro alimentaire s’est emparée du domaine.
Suite à des « études » incomplètes, et disons le, des liens de collusion, l’offre ne correspond en aucun cas aux besoin.
Les études , thèses, sur les vitamines nécessaires et produites par l’organisme du
cheval sont inachevées,
En agro alimentaire, les trois produits « phares » sont le sel, les sucres, les
lipides et les compléments de synthèses comme les CMV par exemple.
Des produits extrudés, cuits, secs, conservateurs, antifongiques,
insecticides, OGM etc des Oligo-Elements ou minéraux isolés qui vont produire une réaction de défense de l’organisme : l’inflammation, réaction de défense de celui ci pour répondre à une agression. L’herbe artificielle que l’on appelle « herbe à vache ou ray-gras » est également un produit de la science destinée à engraisser les animaux. Par définition, un shetland, censé manger de la fibre grossière pauvre et de la matière abrasive et iodée, se retrouve avec une nourriture délétère. Pour pallier à cela, les vétérinaires conseillent très souvent le panier. Ce qui est une manière astucieuse de rajouter stress, frustration, mauvais apport en CO2 et augmentation de l’acidose.

L’organisme se débarasse des toxines par la peau qui est un organe émonctoire
Elle élimine par le biais de plusieurs mécanismes,gazeux, liquides…( notamment par les extrémités).
Parfois l’élimination est imparfaite, ralentie ou incomplète.

En effet, Un organise mammifère se compose de 70 % d’eau ,
Un adulte humain de 50 kg est constitué de 35 kg de liquides, dont les rôles sont
aussi variés qu ‘indispensables.

Comme tous liquides ceux- ci sont victimes de la
pesanteur et tendent à stagner , par manque ou absence de mouvements.

Un second critère intervient dans la circulation des fluides, : la viscosité,
sans oublier la qualité de l’adventice, du média et de de l’intima (les constituants des paroies artérielles), lesquels initient les mouvements mécaniques provoquant une circulation harmonieuse, quand ces couches sont en bon état.

Il arrive que certains éléments transportés soient « « abrasifs » » pour ces tissus
et détériorent ainsi la qualité de l’enveloppe du sang.

LA VISCOSITE DU SANG

La viscosité dépend de 2 mesures distinctes, celle du plasma seul, et celle de
l’accumulation des éléments figurés et des matières organiques transportées.

On évoque ici, l’épaisseur des liquides organiques, composés d’eau et d’éléments
transportés. Outre le sang, la lymphe, les liquides interstitiels, tous ces liquides
présentent des fonctions différentes, un milieu particulier, et les déplacements
fluctuent.
On juge une bonne circulation par une unité de mesure universelle :
1 Millipoise = 0.0001 Kilogram / meter-second.

Ce facteur détermine la faculté de déplacement d’un liquide dans son milieu.

En résumé, on fait face à un mouvement non newtonien, La circulation est
affectée par la viscosité. En clair, l’épaisseur des liquides organiques
entravent le mouvement, le ralentit, et la résistance vasculaire induite par la
souplesse des vaisseaux (veines, artères, capillaires),est un facteur
de résistance à la libre circulation.

Si l’on considère la Loi de Hagen – Poiseuille :

« Cette relation exprimant que l’accélération de toute particule de fluide est la
résultante des efforts surfaciques de pression et de viscosité. »

L’absence ou la qualité disons limitée de la glycogénèse, surcharge le sang et l’organisme entre alors en acidose sévère.

Parfois, l’organisme n’offre pas un circuit de circulation des fluides suffisant pour
être en mesure d’optimiser les échanges.

Souvent cette étape n’est que le prémice de troubles plus importants, De plus en plus lente, la circulation commence à ralentir jusqu’à la stase, notamment dans les extrémités.

En effet, les artères présentent un nombre de Reynolds adéquat, tandis que les veines présentent un taux inférieur, c a d bien moins « « circulant » , induisant une circulation laminaire, voire limitée dans les capillaires dont la taille est infime.

 

La viscosité, moyenne d’un grand nombre de mesures faites avec le sang des espèces
chevalines et bovines à 15° atteint à peu près 4.

A l’état normal (37°), est comprise entre 3,2 et 4,5

Le GLYCOGALYX, représente également un élément déterminant pour la
viscosité. Ce qui nous incite à se rapprocher de nos amis LES SUCRES
Fourbure et diabète de type 2 sont analogues :
Viscosité du sang, état des vaisseaux, tous ces paramètres entretiennent la
qualité, la régularité des mouvements circulatoires, et ainsi, la distribution des
nutriments, et de l’O2.

Le frein à une circulation fluide, une viscosité +++, liée à une rigidité des vaisseaux
induisent LA FOURBURE.

En conséquence de ce constat, il est donc important de faciliter ces transferts de
fluides par le biais d’apports adaptés.
Le sang transporte des éléments figurés endogènes, et les nutriments, exogènes.

Il convient donc d’articuler les efforts en la matière, autour des apports externes,
sans influer sur l’équilibre de l’isotonie sanguine.

Les gras, les sucres, les sels doivent répondre aux besoins essentiels des
animaux, non pour les performances requises par les humains, mais pour les
leurs nécessités physiologiques, En quantités et qualités équilibrées, pas de
souci, mais le déséquilibre s’installe rapidement.
En conséquence, nier ces réactions physiologiques spécifiques et globales,
relève d’une étude aveugle.

Quelle importance de connaître la réaction d’un enzyme , d’une hormone si ce n’est que pour apporter des solutions de force en faveur d’un confort de vie, ?

La Vie est une résultante de paramètres multiples, Du plus grand au plus petit,

C a d de l’environnement au fonctionnement des cellules. Tout est lié.
Du choix d’un environnement adapté ou de prescription de Metformine ou de
sulfamines hyppoglycémiant, , il est temps de concilier les deux :

Eriger la prévention comme la première étape essentielle de la prise en charge thérapeutique,afin d’éviter des manipulations chimiques dommageables pour l’homéostasie,(Effets secondaires !! qui ne sont pas
secondaires , mais bien indésirables) (parfois indispensables, en cas d’urgence)
mais avec leur lot de désordres physiologiques inhérents aux interactions
indésirables et non maitrisées.

Pour rappel, chaque cellule contient de l’eau, les cellules baignent dans du liquide
interstitiel (eau), le liquide lymphatique (eau), larmes, sueur, Sang (plasma)…
Ces liquides répondent à des exigences très strictes quant à leur fluidité, leur
composition.

De plus, ces liquides peuvent transporter des éléments abrasifs qui
vont abimer les tissus qui les contiennent, stade des premiers symptômes
Chaque liquide offre les particularités de sa fonction,
Il convient d’en connaître le PH avant toute dissertation sur le sujet, Le PH varie
selon les organes, Le PH de l’estomac est le plus bas, digestion oblige,
Ces taux peuvent varier, En revanche le PH sanguin ne doit jamais varier,
entre 7, 35 et 7, 45, ceci est primordial,
Pour la fluidité, on frôle là les fondements d’un fonctionnement complet de
l’orgnisme. Les liquides sont là pour circuler, ils transportent, trient,
excrètent, réchauffent, refroidissent, hydratent en changeant de place.

 

Une circulation trop intense ou déficitaire est source de troubles importants.
Tout aliment « étranger » au biotope, représente une sorte de toxine pour un
orgnisme.

Les liquides doivent les transporter jusqu’aux émonctoires, d’où une
fluidité inhérente à la fonction,
Quand la viscosité s ‘élève, ces échanges se limitent de plus en plus jusqu’à la
stase,
Au premier stade, l’inflammation s’installe avec raideurs et douleurs articulaires
Ensuite l’organisme commence à stoker le surplus = l’embonpolnt ou
l’amaigrissement commencent
Tros gros, et ou fatigué, douloureux, il se déplace moins , et commence à
s’immobiliser : c’est la crise de fourbure, les liquides surchargés ne circulent plus
assez

De nombreuses causes sont à l’origine de ces stases des liquides,
outre la circulation, par surcharge d’éléments indésirables, les fers freinent cette
circulation pourtant nécessaire, les poids portés, un manque d »énergie, une
déficience de la Rate, (MTC)

 

 

 

Quelle attitude adopter en prévention, ou en soins
d’urgence ?
LE PANIER EST UNE TORURE MORALE ET PHYSIOLOGIQUE A BANNIR
D’URGENCE
(excepté en post opératoire ou problèmes médicaux aigus et urgents ) Avant la crise,
AU PRE
Déterminer l’origine géographique du cheval, tenter d’approcher ses besoins ,
Il doit pouvoir disposer de plantes variées, de branches d’arbres, de « mauvaises herbes » à profusion Elles sont parfois utiles pour contrer la fourbure,(Plantain, Persil, Pissenlit, Menthe, etc, Plantez les , ils se serviront,

EXEMPLE
”menu de Galand des chênes » »SF de 29 ans : Herbe pauvre, fleurs de genêt, feuilles
d’Eucalyptus, chataignes, un peu de glands, feulles de citronnier, feuilles de menthe verte, foins divers) Cheval à tendance emphysémateuse
Gibus de Commoullec, Newforest même âge, même endroit ( herbes pauvres, fougères, soucis, Armoise, plantain, Pissenlit, Chardon béni, Persil, foin) Cheval présentant une faiblesse hépatique grave.

Les animaux savent se soigner seuls quand on leur en donne les possibilité,
Si l’on choisit de mettre des chevaux au pré, ils doivent être prioritaires sur le foin,
1 Hectare par cheval c’est comme le « « double poney’ « cela n’est que pure fiction.

Priver un cheval d’herbe pour lui donner sèche l’hiver n’est qu’une solution financière
Un cheval doit parcourir environ 10 km / jour ce qui n’est pas énorme, 5 Hectares me
paraissent un minimum, que ce soit pour un ou deux, ou plus,
mais une parcelle inférieure à 5 Ha ne propose pas lune surface suffisante, dans ce cas il faut l’emmener en extérieur (on ne parle pas ici de travail en manège ou en carrière mais bien d’extérieur).
Cet exercice est indispensable pour la circulation des liquides, et le fonctionnement
organique, les chevaux disposant d’espace sont beaucoup moins touchés,
Si le cheval n’a accès qu’à de l’eau de la ville, la nettoyer avec un peu d’argile ou de
charbon actif, Jeter les résidus de boues,
( Un article sur l’eau est en préparation,)
Ne pas semer, laisser toutes les « mauvaises herbes » qui sont d’un grand secours pour ce genre de soins.
Contingenter les poneys sous les arbres, sur des sols pauvres, ne pas placer les clôtures afin de délimiter des parcelles sans arbres, comme on le voit souvent.

Des abris disponibles, à leur convenance, pour éviter tout stress physiologiques. Le froid, provoque une contriction des tissus et donc on observe le développement d’une chaleur interne, la sécheresse épuise les liquides organiques, l’humidité lèse la rate… Bref il est vital pour un animal de pouvoir se prémunir de l’aspect pathogène d’un climat trop rude ou trop long.

Nous avons travaillé chez Equisia, à l’élaboration d’une formule à destination des chevaux/poneys atteints de fourbure. L’Equisa-fourbure, disponible en pré-commande à partir du 15 MARS (en même temps que l’équisa Ulcère).

Ces conseils ne sauraient se substituer à l’avis éclairé et compétent d’un vétérinaire diplômé seul habilité à pouvoir établir un diagnostic.

8 Comments on “LA FOURBURE

  1. Bonjour Guillaume,
    Les articles signés mylliepoppins7725 sont du plus grand intérêt et éveillent à chaque fois ma curiosité…
    Alors,Guillaume, dites nous tout; qui est mylliepoppins7725, quel est son cursus pour tant approfondir les sujets développés.
    A vous lire,
    Cordialement.

    • Bonjour, Merci de votre attention pour nos articles, je m’appelle Myllie je suis la soeur de Guillaume. J’enseigne la médecine chinoise equine et d’ostéopathie japonaise. Je partage mon parcours avec mes stagiaires mais c’est compliqué de partager ces infos sur le blog.

  2. Peut on également faire appel à un nutritionniste équin indépendant des marques ?

    Ex : Anne Catherine Kaeffer de Techniques D’Elevage, Angélique Descarpentry Equitransmetre ou Sabrina Peyrille ?

    • Bonjour, malheureusement,je ne peux pas vous encourager dans cette voie d’un point de vue personnel. Les “nutritionnistes” dans leur formations même, n’intègrent pas certains paramètres pourtant essentiels à l’état de santé. Beaucoup de disciplines voient le jour ici et là, se concentrant sur certaines spécificités. Je pense qu’il ne faut pas se fier à la discipline exercée mais à la personne, à sa vision, ses connaissances, son expérience et à sa formation pour prendre conseil à propos de la santé de vos chevaux. Mais clairement, l’étiquette d’un praticien ne doit pas invitée seule, à la confiance. Mais n’hésitez pas à nous poser des questions si besoin: medecinechinoiseequine@protonmail.com

  3. En mars 2022 mon cheval ( RMH) a fait une fourbure ( -10 pied droit et – 15 pied gauche ) et apres prise de sang avait le sydrome methabolique equin, catastrophe !!! Suite a plusieurs consultation ( mad barn ) …foin mouille 5 lbs 2 fois par jour, pour maigrir rapidement, spiruline, W-3 oil, jiaogulan durand 6 mois ! Botte easy boot cloud 3 mois.. apres nu pied . Encore une fois prise de sang, surprise !! Mon cheval n a plus le syndrome methabolique equin, ne boite plus …jai recommencer l entrainement doucement en janvier 2023 …maintenant il va tres bien !!! Foin de mil et brome, avec 7% de sucre …plus besoin de mouiller !!!!
    UN MIRACLE ?!?

  4. merci pour votre article très intéressant. Ma question est la suivante : commet s’organiser quand le cheval est dans un club ne disposant pas de 5hectares par cheval et que l’hiver chaque cheval va au paddock et non pas au pré ? merci 🙂

    • Bonsoir Lydie. C’est assez complexe de répondre à cette question… c’est un peu comme de dire “je voudrais que mon cheval soit bien dans ses pieds mais il est ferré comment faire”. Je sais très bien que c’est compliqué de trouver des structures adaptées et je comprends. Serait-il envisageable de changer votre cheval de lieu de vie? Il y a de plus en plus d’annonces, sur le bon coin par exemple ou des pensions sont proposées avec de l’espace, en troupeau, pieds nus… Tout n’est pas bon à prendre évidemment mais ce conseil a marché pour trois personnes qui m’ont posé cette question. Sinon, il faut faire un maximum d’extérieur avec votre cheval. Il doit marcher avant tout, bouger, être stimulé physiquement ET psychologiquement, voir du pays. Mettez le sous equisia-terrain dans un premier temps, ca aidera et son organisme et son moral

  5. A préciser que pour les chevaux d’écuries, chaque cas est à envisager de manière adaptée.
    C’est pour cette raison que je n’ai pas abordé le sujet.

    Un cheval immobilisé va présenter des troubles du comportement, ainsi que des dysfonctionnements organiques plus ou moins importants selon les caractéristiques des écuries, et surtout du personnel soigneur. Selon le lieu, l’ambiance, l’âge, le passé du cheval…
    1) Troubles du comportement :
    votre cheval s’est il attaché un un, ou plusieurs autres congénères ? Dans ce cas, si c’est possible, rapprochez les. Box proches, et paddock ensemble.
    Des “”jouets”” , c a d une activité dans la contention. Des objets à mordiller, a attraper etc. Du bois à ronger (non toxique, non traité, comme 1 branche d’arbre par ex) Changer les gouts. Éviter les arbres toxiques

    Des sorties le plus possible. Promenades en main, brouter autour des écuries, paddock le plus possible, excepté les séjours en plein soleil par plus de 35 °. Le sortir le matin ou le soir. Si le paddock est petit et dépourvu de plantes, lui mettre des branches de toutes sortes. Pommiers, hêtres, Frênes, Erables, Cerisiers….
    Les pansages doivent être source d’échanges, et non de discipline.

    2° Troubles organiques
    Les granulés devraient être bannis, mais il est compliqué de s’opposer au fonctionnement économique d’un centre.
    Un arrangement est il possible pour apporter aux chevaux présents des recettes adaptées à leurs besoins ? chaque animal devrait disposer de sa recette.
    Jamais de granulés secs, ni de produits “”bas de gamme”” pas cher. Tremper les granulés dans un seau d’eau ou de tisane 2 h avant pas plus pour éviter les fermentations.. Proposer des seaux de déchets de fruits et légumes CRUS chaque jour si possible.. Il fera le tri.
    Faire germer de l’orge bio à la maison, lui proposer environ un bol ./ jour.
    Mettre de l’argile ou du charbon actif dans l’eau de consommation, la changer tous les 3 jours. Faire des pauses. de temps en temps pour ne pas surcharger les reins. Si c’est un abreuvoir dont il dispose, lui laisser un seau d’eau argileuse ou avec charbon.
    Du foin à volonté. Pour d’autres questions: delepine.naturopathe@gmail.com

Laisser un commentaire

%d blogueurs aiment cette page :